Madame, J’aimerais venir répondre trés simplement 4 l’article signe Edmond Girault du 30 avril dernier. Sujet, 25e An- niversaire de la Caisse. J’avais le plaisir d’assis- ter au Banquet du 25e an- niversaire durant lequel on nous distribua un livret sou- venir ot tous trouvérent l’historique de notre Caisse Populaire, Hommages, Sa Petite Histoire, sans oublier son premier prét, ses direc- teurs et officiers depuis 1946, ses pionniers, et ses six gérants avec leur photo, ses différents locaux, ses Membres actifs et préts, son Conseil d’administration ac- tuel, et, enfin, le nouveau gérant accompagné de son attrayant personnel, et com- me il se doit, quelques an- nonces. Monsieur Girault note sur- Wl, GE esses ale ielireS croire aux lecteurs que les Maillardvilliens sont des in- grats. Non, Monsieur, plu- sieurs comme moi, lévent haut leurs chapeaux devant M. J.B. Goulet. Le peuple lui doit beaucoup et si vous aviez été présent au ban- quet que lui prépara la Fédé- ration samedi le 2 mars 1968, lors de sa décoration de la Médaille de la Fidé- lite Frangaise, ot la salle de N.D. de Lourdes n’a pas suffi 4 loger tous les convi- ves, vous n’auriez pas écrit ces lignes. Vous lui attribuez presqu’ entiérement Le Foyer Mail- lard ; la, je me permets de faire une pause : il ven- dit la plupart des obliga- tions, mais l’énormité du travail fut fait par M. LEO COMEAU, alors président de la Société Bi-Culturelle, et comme secrétaire-archi- viste, pour vous en parler. je suis bien placée Vous avez remarqué le si- lence “der M, J2B:. Goulet, pourtant lors de ses deux présentations, d’abord son Certificat de Mérite, ot il fut l’objet d’un Standing Ova- tion, ensuite présentation de CUNA(Credit Union National | Association),non pas groupe anglais, il aurait pu parler; il a de son plein gré dé- cliné l’invitation que lasalle entiére lui fit. Quant 4 son cadeau de dé- part, terme que jen’approu- ve pas, je dirais plutOt sou- venir des années de travail paye A la Caisse, Le Con- seil d’Administration Actuel lui offrit quelque chose de palpable qui saura agrémen- ter plusieurs moments de ses années de retraite. Le tout se fit dans la plus Stricte intimité, M. J. B. Goulet n’aimant pas les dé- monstrations, que tous nous lui rendons aujourd’hui, et lui rendions mais il sait | le 24 avril dernier, un Hom- /mage de Gratitude. “ ' Moi, au contraire, savez- vous ce qui m’a_ frappée] 4 ce Banquet : le magnifi- que travail qu’a fait M. Ar- 'thur Cheramy de Prince George, comme Maftre de _cérémonie, l’atmosphére de détente qui y régnait, les jolies décorations, ce succu- lent menu, et le discours |bilingue de notre maire qui dit** je suis Jacques Ballardt, etc...’? deux personnes, deux points de vue. Je félicite tous les Messieurs qui ont |regu des Certificats de Mé- rite, et souhaite longue vie 4 notre Caisse, et une heu- reuse retraite 4 son cin- iquiéme gérant, Monsieur |Goulet, aux organisateurs et organisatrices mes sincéres félicitations et remercie- ments. Pierrette Paquette. Madame, A propos de l’article ‘*De tout en ville’? dans votre numéro du 30 avril 1971 par Edmond Girault, je vous ferai remarquer que vos in- q formations sont totalement fausses. M. Goulet (sans lui enlever son juste mérite) est le cinquiéme gérant de la Caisse de Maillardville. En outre, d’aprés l’article, il n’y aurait que M. Goulet qui a travaillé pour la Caisse et pour les Canadiens Fran- gais de Maillardville. Ceci est une insulte 4 tous ceux qui, depuis de longues années, se sont dévoués dans | l’ombre pour la cause. Pour vos prochains arti- cles, veuillez aller chercher [la vérité A une source compétente pour ne pas leurrer vos lecteurs. Bien A vous, Arthur Cheramy. Madame, J’ai eu le trés grand plaisir d’apprendre, par l’entremi- se du ‘‘Droit’’ d’Ottawa, le magnifique travail que vous accomplissez au sein de la communauté francophone de votre province. Sincéres fé- licitations. Venant d’un mo- deste enseignant du Québec, le présent temoignage d’ap- préciation et d’encourage- ment n’a peut-étre pas le poids d’une déclaration de hauts personnages de la po- litique ou de lafinance, mais il y gagne d’autant en sin- cérité. A. l’heure ot 1’on s’interroge sur l’utilité de la présence fran¢aise au sein de l’actuelle confédération canadienne, je pense que vo- tre action reste une réponse | vivante et un exemple sus- ceptible d’étre imité. Bien A vous, a Montréal Madame, C’est avec grand intérét que j'ai lu l’article sur votre journal, paru dans ‘‘ The Ga- zette’’ de Montréal, et vous | fait part de mes féliciations | et encouragements pour vou- | loir promulguer et préser- ver la langue frangaise en C-B. Et ceci est la raison qui m’ameéne 4 vous écrire; car cela intéressera cert- | qui voudraient pratiquer la langue francaise et se faire | des amis lointains.Peut-étre pourrez-vous lancer un ap- pel dans votre journal en fa- | veur d’une oeuvre qui est Gilles Lépine | ainement vos jeunes lecteurs | venue 4 mon attention il y a deja un certain temps. L’ oeuvre ‘‘Timbre-Amitié ’’ est dirigée bénévolement par M. Louis Rarbey, 60 Mont- javoult, Oise, France. Il s’ occupe de faire parvenir des timbres et du matériel philatélique principalement les jeunes, dans les sanatoriums, mais- ons de repos, de reéducati- on, pour les distraire. Il aurait aussi besgin de nom- breux jeunes correspondants pour ces jeunes malades. N’est-ce pas 1a le moyen pour les jeunes dela Colom- bie-britannique de pratiquer la langue frangaise, de nouer des amitiés lointaines, de partager un ‘hobby’ et de faire en méme temps une | bonne action auprés de nom- breux jeunes immobilisés aux malades, | | Canada. |qul trouvent les heures, les jours, les mois bien longs... En leur nom je vous remer- |cie de ce-que vous ferez jpour eux; avec tous mes re- merciements et sincéres sa- lutations, Huguette Cochon Montréal _ Chers Messieurs et Mesdames, (...) Je vous félicite pour le nouveau format du Soleil. Votre journal est devenu un vrai témoin du fait fran- ¢ais sur la cdte ouest du Je serai trés content de le recevoir une fois par se- maine dans ce désert an- glais. Bien a vous, J. G. Baird Dalkeith Australie. SALON LUCIEN BELLIN COIFFEUR FRANCAIS Eke, “MOZART KONDITORE! | SON CAFE DES GOURMETS ae 1011 Robson Street — Tel.: 6859510) ed Patisserie francaise. 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