om Nes CANADIAN NATIONAL 2 CANADIAR PACIFIC AS zits dic is im i- ic 2/212 ea pe Qj rat S122 )5 a) < < rs) ao ONAL @ CANADIEN PACIE/QUE. CANADIEN NATI CNCP CRT VANCOUVER B-C 1978—04-26 11:50 LE SOLEIL DE COLOMBIE 3213 CAMBIE, VANCOUVER C-B.879-6924. POUR AVOIR MIS PAGES DISPOSITION. COMMUNAUTE-POUR ACHARNEMENT A. SURVIVRE-POUR ETRE PORTE-PAROLE FRANCO-COLOMBIENS-POUR' PRESENCE QUI PROUVE NOTRE EXISTENCE- POUR NOUS FAIRE CONNAITRE DES AUTRES- POUR FAIRE SE CONNAITRE,SE PARLER- POUR ETRE VOIX FAMILIERE DANS MASSE DE PUBLICATIONS AUTRE LANGUE OFFI - _ CIELLE-POUR ETRE A NOTRE PORTEE CHAQUE SEMAINE-POUR ANNONCES CLASSEES GRATUITES: MERCI - MERCI - MERCI - MERCI - MERCI- MERCI- MERCI - MERCI - e e ET BON ANNIVERSAIRE! SIGNE : < | & | c La Federation des Franco-Colombiens = oa 3 < 4 < 40 ye CREDIT UNio La Caisse Populaire | de Maillardville présente ses meilleurs hommages au. Soleil de Colombie et lui souhaite longue vie 1013 Brunette Avenue C.P. 1130 Maillardville, B.C. V3J 624 Dans toute société ou com- munauté dynamique, un mo- yen de communication (ou plusieurs) est utilisé afin de diffuser l'information, d’échanger des idées et af- fermir lidendité commune. Pour la communauté des Franco-Colombiens, ce moyen est “Le Soleil de Colombie”’, seul moyen de communication “universel” dans notre communauté. Quand, il y a dix ans, j'ai participé et travaillé bénévo- lement, dés le deuxiéme numéro, a la fondation du “Soleil”, mon engagement était plus qu’“intellectuel” que “missionnaire”’. Pour moi, a cette époque, le “Soleil” représentait chaque semaine une victoire de la volonté et de l’esprit sur le matérialisme qui nous entou- rait et nous entoure tou- jours. Publier un journal sans argent et sans ressources en soi quand j’y repense. Travailler jusqu’a une ou deux heures du matin, cha- que semaine, avec un groupe de personnes enthousiastes fut toute une expérience. Ecrire, taper a la machine, compter chaque lettre de chaque ligne de texte, ajou- ter les accents a la main, coller les articles, et j’en passe, étaient des taches qui, pour moi et certaine- ment mes “collégués” de l'époque, étaient trés impor- | tantes car notre but, alors, était de publier un journal | de langue frangaise a Van- couver. La Francophonie, pour nous, s’arrétait a la Paroisse et la Caisse St- Sacrement. Bien vite cependant, notre philosophie, quant au réle du “Soleil”, changeait. “Le ‘| Soleil” devenait pour cer- tains 4 Vancouver un moyen de communication qui venait. compléter le travail de CBUF-FM, encore bien jeu- ne aussi. Avec ce nouveau techniques était un exploit * |UN OUTIL DE COMMUNICATION -Gupplément 10¢ Anniversaire, e par Jean Riou les anglophones commen- caient a s’y intéresser plus sérieusement. Néanmoins, ce nouveau role du “Soleil” n’était pas encore définitif. Avec des moyens accrus, “Le Soleil” devenait plus professionnel... La phase amateur avait dis- paru. Les machines rempla- caient la main d’oeuvre et le bénévolat au “Soleil” deve- nait rare, malheureusement. Il n’en fallait pas plus pour que I|’évolution du “Soleil” connaisse une autre poussée. De “Soleil de Vancouver”, le journal devenait le “Soleil de Colombie”. D’une vocation locale de Vancouver, le “Soleil” se donnait un man- dat provincial: il devenait Voutil de communication qui n’existait pas sous cette ‘forme auparavant. Du “Courrier de la Nou- velle Calédonie” en 1858 a “L’ Appel”, magazine de la Fédération, en passant par le “Journal de Colombie” en. 1946, “Le Soleil de Colom- bie” devenait le médium d'information et de commu- nication qui manquait a no- tre communauté. Ce nou-’ veau role reflétait en quel- que sorte les soubresauts de notre communauté de la fin des années 60 et du début des années ’70. Notre com- pouvait que se refléter dans nos institutions et nos outils de communication. En regardant les autres média de communication et: sans vouloir diminuer le réle de CBUF-FM et CBUFT ces deux stations ne couvriront jamais, dans notre province, 100% des Franco-Colom- biens. D’ici quelques années, plus de 80% des Franco- Colombiens pourront rece- voir la radio et-ou la télé- vision de “Radio-Canada”. Il restera done toujours prés de 20% de francophones qui -ne pourront pas avoir accés a ces deux services de communication. Le potentiel du “Soleil” est donc illimité et “univer- sel” en Colombie Britanni- que. Rien ne l’empéche de toucher 100% des Franco- Colombiens et d’aller dans tous les milieux. Malheureu- sement, ce potentiel est a peine utilisé méme si, en ce moment, le “Soleil” se rend dans presque toutes les ré- gions. Nous ne sommes pas conscients encore du poten- tiel et du réle que le “Soleil” peut et doit jouer dans notre collectivité franco-colom- bienne. Les groupes utilisent trés: peu les pages du “Soleil” pour parler de leurs activi- tés et d’eux-mémes en géné- ral. Il est rare, également, de voir les groupes faire des suggestions quant aux orien-. tations et au contenu du journal. Les groupes pour- raient aussi profiter d’une page du “Soleil” pour parler non seulement d’eux-mémes ‘mais aussi donner des nou- velles de leurs localités; il leur suffirait de vendre des annonces 4 des commergants de leurs localités et de se constituer ainsi chaque se- maine une page dans le “Soleil”, rendant ce journal plus accessible a tous les Franco-Colombiens. role “Le Soleil” devenait: munauté se réorganisait et Bon anniversaire’ et plus connu, plus accepté et ce nouveau dynamisme ne longue vie au “Soleil”. = Nos félicitations & l’oc- aA ro OyeuUux B adway Gas ; | casion de votre 10i¢me : J y : “105 23e O.. anniversaire de la or anniversaire!!! Vv cation du journal “Le = > Fics eee eer ia Société Historique : yey : Nos compliments pour Franco- désire souhaiter un travail si bien accom- : : : : pli; et meilleurs voeux de ; Colombienne un Bon ee: succés a T'avenir. Pour adhérer : : Sec | Les Francophones . 4 Beauli Anniversaire au d’Alberni regent eal 4006- 8iéme Avenue . 687-0137 ; . ‘Port Alberni, C.B. Catherine Lévesque | Soleil de Colombie Tél. 724-0212. : 324-6898 Tél: 525-3331