| ERRATA Mhotre proposition de , daiaser libre la page i deux du "Cornoudiller" { afin que les groupes | pulssent y reproduire leurs informations lo- sales n'était finale- ment pag une tras bon- ne idé@e. Certaing, en effet, ne disposent pas du maté»e riel micessaire.s Neus procéderona donc adifféeremment dégormaia at moug demandons ici aux groupes intéeressés } de nous faire parvenir, | i au plus tard je 25 de | chaque mois, les nou- vellesa qu'tiles souhai~ tent voir reproduites dans leur édition ré- gionale du Cornouillers | MSE ARTEE RAS SIS SES AER Le gifge de la FFC se chargera de l‘impres- sion et expédiera, dés le début du mois, le nombre requis d‘'exem- plaires complets. ia rédaction. | | BULLETIN DES FRANCO-COLOMBIENS D‘ INFORMATION NUMERO TROIS TOUJOURS LES MEMES bés que l'on s'intéresse un peu @ la vie de la comnu- nauté ou, plus exactement; des comaunautés; dés que l'on interroge ou que l'on stinterroge sur les rai- sona de le lassitude, pour ne pas dire la torpeur, dont souffrent trop de groupes, une réponse apparait, unanime sembleet-ii 3 ee eaey "Ce gont toujours les mémes qui font tout, ce sont toujours lea mémes qui ae dévouent!" La deuxiéme partie de cette réponse constitue, bien entendu, la version de ceux~14 méme qui "se dévouent", tandis que la premiére vient des "autres". Elle se nuance, dés lors, cu d'admfration ou de reproche, se- lon que lea “autres se watisfont du-dévouement des ‘uns ou qulils leur reprochent cu leur envient le vouvedr qu‘iils s*arrogent. Au cours de leurs tournées dans la province, les per- manents de la Fédération ont partout recueilli des réflexions dw genre. Quand ils ont parle aux respon- sables locaux, ils ont, presque toujours, entendu : ‘Nous ne sommes pag aasez nombreux. Nous ne trouvons personne pour nous aider." Dans leurs contacts avec les membres non-dirigeants, ils se sont fait dire : ‘Nos dirigeants sont irremplagables," ou, ce qui est plus grave :"Nos dirigeants ne veulent pas se lais- ser remplacer.'' Tl y a, assurément, du vrai dans toutes ces réponses. Mais il y a aussi les éléments d'une solution au pro- bléme inévitable de ltessoufflement. Cette solution réside principalement dans "la reléve" qu'il convient d‘assurer. Elle ne peut i‘4tre que si les responsa~ bles acceptent gu‘on lea aide et ai les “autres” sont préts & aider sans autre ambition que le bien de la communeuté francophone,