fre il dvet itdaz 22 itschwew “Artacies 28 ster of ¢ Steen tna { de Vancouver : : eke : a sur la bande. = a : “ ~ ; t Victoria: 3 et 8 Chilliwack: 14 Kelowna: 21 Kamloops: 50 Prince George: 4 Terrace: 11 Programme de la télévision francaise de | di VOL.4 Nol5 VENDREDI 15 AoUT 1980 Ra O- -Canada I canadi , : en Des productions frangaises Le F ootba cana e et canadiennes «On va remplir le ciel cription des matches pour la télévi- * de ballons...» Tbieniese eee Fin de la “ 4 Et maintenant? «A moins d'un & 4 «On va continuer de gagner, tout ésastre, poursuit Pierre Dufault, les \ 5 en devenant excitants!», Voila ce Alouettes vont lutter pour la pre- = { qu’‘affirmait Joe Scannella, a |’aube de sa premiére saison au poste d’ins- tructeur en chef des Alouettes de Montréal. C’étaiten 1978. Habitués ‘que nous étions d’avoir une’ équipe gagnante mais terne sous Marv Levy, une telle promesse en a rejoui plus d’un. Hélas! trois ou quatre matches «offensifs» suffirent a Scan- nella pour qu'il revoie ses’ posi- tions... et qu'il revienne a l'approche de son prédécesseur: jeu prudent, conservateur, basé sur une défen- sive puissante et de bonnes unités spéciales. Les Alouettes retrouvent alors le chemin de la victoire (sans ~ Coupe Grey, cependant), et les spectateurs, eux, le chemin de la sortie. C'est bien beau de gagner, mais les amateurs en ont marre de s’ennuyer. On n'a qu’a voir les sta- tistiques... teurs en moyenne, au Stade Olympi- que... 1978, 54000... 1979, 44 OOO environ! En 1980, pour répondre aux pressions de la direc- tion des Alouettes et/en intéres- ser(ant) le public payant, Scannelia a de nouveau promis un jeu offensif plus excitant. Jusqu'ici, 3 matches réguliers dont 2 défaites, 1 victoire peu convaincante... et du yeu tout ce qu'il y a d’ennuyeux. ‘Ah! les années ’50! Celles de Sam Etcheverry, LE quart-arriére, celui qu'on est pas préts d’oublier. Du football spectagulaire. .. les belles années auxquelles ‘ont succédé les années noires de 1960 a 1973. Puis Marv Levy (ait is much easier to” demolish than tocreate!»... la défen- sive avant tout) qui arrive et qui se (deux Coupes £t Scannella... Et teur Pierre si lucidemer Alouettes 1 1964. Hi te ans Lae qu'il fait la des- 1977: 59 000 ‘specta- miere place et ce, grace a leur défen- sive, quoiqu’en dise Scannetla. Mal- -heureusement, Montréal ne possede pas les éléments offensifs nécessai- res pour étre spectaculaire. Alors que l'excellente défensive, peu changée, a pris de la maturité cette cannée, l'attaque, elle, ne s'est pas vraiment améliorée. -La venue de Biletnikoff, c’est positif bien sur, mais fa perte de O'Leary est trés dure a prendre. Barnes est vulnerable, fra- gile. Dattilio n'a pas encore fait ses preuves (propos recueillis avant le match du 22 juillet contre Hamilton, alors que Dattilio a sauvé les siens d'une autre défaite humiliante, dans .les derniéres minutes de jeu). Chose surprenante, cette année, fa lutte va venir de Hamilton plutét que d’Ot- tawa. |! est a souhaiter, cependant, que dans |'Est, toutes les équipes soient dans le plus fort de la course au championnat. Dans |’Ouest, Edmonton est encore seule... il est plus que probable que les Eskimos remportent ja Coupe Grey pour une troisieme année consécutive. C'est la seule @quipe de la Ligne cana- dienne qui soit parfaite sur toute fa ligne. L‘assistance a Montréal, cette année? On devrait conserver une moyenne de 44 000 spectateurs par match, comme la saison der- niere» Du football canadien au football amérieain, il n’y a qu'un pas (de géant?)... Pierre Dufault le franchit allegrement et nous dit: «C'est vrai que ¢ est le meilleur football (l’améri- _eain)! On ne peut pas comparer fe calibre des joueurs des deux ligues, c'est évident. La Ligue nationale de football est la ligue sportive ja mieux administrée, ia plus professionnelle 3 tous points de vue. Mais la Ligue — canadienne n’a jamais prétendu se _comparer a elle. ta L.C.F. est une : ata et bien. structurée, en ~ santé, réaliste, qui n'est pas riche “mais qui vit selon ses moyens. C’ - peut-étre Ja sa plus grande qualité. 98 il est. différent de lamericain. le «Quant aux rumeurs entouran la venue d'une équipe de la Ligue na- tionale & Montréal, c‘est compléte- ment ridicule! Une pure in journaliste! ll faut étre réaliste ne se produira pas, 1 part, si elle a cadres, fa LN _ Le lundi 18 aoat La semaine débute en beauté avec un. documentaire frangais tiré de la série /a Vie qui nous entoure: I’Ins- tinct materne/. || est maintenant reconnu que de la naissance jusqu’a trois ans, les relations mére-enfant sont essentielles pour le développe- ment de |'étre humain. Utilisant les techniques de la psychologie, les réalisateurs de /‘/nstinct materne/ ont analysé le comportement mater- nel dans divers types de sociétés humaines et le comparent a celui que l'on rencontre dans le monde ani- -mal. Le mardi 19 aoat Trois reportages nous sont offerts dans le cadre de Chroniques de Fran- ce. Le premier nous permettra de rencontrer Marie-Paule Beile, une chanteuse qui posséde autant de talent que de tempérament, et qui s'est fait connaitre par des succés ° tels Wo/fgang et moi, /a Parisienne, Nosferatu... Le second nous trans- portera Au pays bigouden, une terre - de légendes mais surtout une terre ou |l’on-cultive l’art de la broderie. Enfin, le troisieme, Un nouvel équil- bre entre, planche et voile nous décrira un. nouveau sport: le surf a ‘voile. Le Point sur le féminisme Si vous voulez tout savoir (ou pres- : que tout) sur |’histoire du féminisme et sur son état actuel, regardez Le mercredi 20 aoat Une des meilleures syntheses qu’on ait faites jusqu’a présent, en matiére d'information sur le fémi- nisme, vous sera proposée le mardi 19 aout a4 21 heures, a la television _ francaise de Radio-Canada, sous le titre: Réflexions a partir du abil méne des Yvettes. Autre aspect a retenir de cette réflexion sur la. condition des fem- |‘émission intitulée Réflexions a par- tir du phénoméne des Yvettes, le mardi 19 aodt a 21 heures, sur la chaine francaise de Radio-Canada. Réalisation: Héléne Saint-Martin; reporter: Jean Larin; recherches: Martine Lanct6ét; scripts: Gougeon-Brousseau et _Héléne Sirois; montage: Mimi Thouin. Louise ° L’Affaire Bronswick, un court-mé- trage de fiction canadien qui a mérité \'éloge de la critique, occupera |’es- _sentiel du temps alloué aux docu- mentaires aujourd'hui. L’histoire de ce film de Robert Awad et André Leduc pourrait se résumer ainsi: Un phénomeéne troublant se produit dont sont victimes nombre de télé- spectateurs. Ils se mettent 4 acheter quantité d‘articles dont ils n’ont : Reta a absolument pas besoin. Des experts bess ~ ee San eh Societe tentent de découvrir la source de |’in- enace, comme la été, par exem : & : ; ple, le mouvement hippie. Les mena- Radio- Canada comprehensible force qui les a pous- ces contre le feminisme proviennent ses a cette surconsommation. C’est de deux forces: la publicité, qui déja’ done une intéressante oeuvre de tente de «récupérer» le mouvement réflexion sur le pouvoir de la télé- d’émancipation féminine, et la bu- adehs vision et sur la société de enw reaucratie, qui n’est pas étrangére CEM) = eave: qui set est ici aoe : aux stéréatypes qui figent toute vewar : mission Ge mercredi se termi- action, toute vie intellectuelle et Motales x ose ew nera par la présentation de l'une des Vignettes du Canada.le Visiteur.