ee ey Yi ‘ [ \) Ai VAAL KINA, ADIADY KPAX is XASISSACISRISKISEISAS 1145 GEORGIA-OUEST, VANCOUVER 5, TELEPHONE : 682-5621 KK RDS ADNAN AL ALA ALAR, ADNAN ADY OASIS ACISACISEISECSESI ASS eas) LAINS SAS AS \ 2 Mi Way CSEISA ADYALYAIAY AY Z BLAIS 2 AIS AS 2 AIS US 2 A IN Le Soleil de Colombie, 13 Février 1976, 7 ATT POA er WAy"e 3) ais W'S DIS, SASSI MAT SMA Mei Me ESeN es ISAS AIS 2 UNS Dee Dp NZ2yS"2 2 ) a Soe SR o, DU 11FEVRIER AU 7 MARS CINEMA QUEBEC 75 - CINEMA a été produit par: Jean-Pierre BASTIEN, pour la CINEMATHEQUE QUEBECOISE DE MONTREAL 1970-75, en dépit de cet- te courte période, le ciné- ma au Québec agranditrés rapidement; la preuve- en est par les quelques noms { qui suivent et qui ont été des plus importants dans histoire du cinéma qué- bécois: Pour la Suite du Monde (P. Perrault & M. Brault, Le Chat dans le Sac (G. Groulx) et les premiers longs métrages de J.P. Le- febvre. Qui aurait pensé, en 1964 que ces films auraient éveillé 1’attention des cri- tiques européens au phéno- méne de notre cinéma. - Qui aurait pensé que le ‘‘cinéma - verité’’, tel que pratiqué au Québec, serait devenu un modéle dans le développement de 1’histoi- re mondiale du film. La date de 1970 est im- portante car en eut lieu la crise d’octobre; c’est en 1970 qu’un gou- vernement libéral fut élu au Québec; c’est aussi en 1970 que 25% des electeurs votérent pour le Parti Qué- bécois. C’est la méme année que Denys Arcandfit son film ‘*On est au Coton’’ (censuré et banni par le Na- tional Film Board. Ce fut aussi la période ot toute une série de films (Pre- miéres Oeuvres) virent le jour, premiére chance pour de jeunes cinéastes. Mais ce n’est pas une pé- riode de grands change- ments, comparée.a la pré- cédente; ce sont des films qui ont continué 4 exprimé les sentiments nationaux d’avant 1970. C’est plus un changement dans les ima- ges et dans le style. -