PRL EE og A oe -pheum’’. Les billets - 'phonique de Vancouver. nouvelles Le Soleil de Colombie, 19 Juillet 1974, 3 franco-colombiennes LE 14 JUILLET LES NOUVELLES FRANCO-COLOMBIENNES - par Jean Riou - Le camp de vacances de l’association ‘‘Les Franco- phones CB’’ qui aura lieu 4 Kamloops dans les premié- res semaines d’aoat, a tou- jours des places ouvertes. Ce camp est ouvert 4 tous les enfants francophones de la province de sept 4 douze ou quatorze ans.La région du Grand-Vancouver parti- cipe pour $600.00 aux frais de ce camp. Le Ministre des Affaires culturelles du Québec a an- noncé A travers la ‘‘presse canadienne’’ que la subven- tion de $6,000.00 pour la Fédération des Franco-Co- lombiens était accordée et - que le chéque était parti par la poste. La FFC attendait une réponse depuis plusieurs mois. : Le Secrétariat de la FFC fera parvenir 4 cha- cune des neuf régions de la FFC des dépliants pour dis- . tribution’ dans les divers centres d’information. La FFC a regu 6,000 vo- lumes scolaires du niveau secondaire de la Commis- sion Scolaire de St-Yacinthe -au Québec. Ce don généreux de c commission est le bienvenu. Cependant, il y a un petit probléme. Od sont nos écoles secondaires de langue francaise? La FFC est devenue l’a- gent de la loterie ‘‘Or- sont en vente 4 la FFC, au Cen- tre Culturel, Epicerie Gran- ger et Caisse Populaire St- Sacrement. La loterie permettra A la ville de Vancouver d’acheter la salle de théAtre ‘‘Orphe- um’? pour l’orchestre sym- La loterie permettra également un auto-financement pour les vendeurs de billet. - v COMMUNIQUE FFC - Le samedi 13 juillet, les membres et délégués 4 la FFC se sont réunis pour for- mer la premiére région du Grand-Vancouver dela FFC. Suite A cette assemblée et 4 1’élection de onze conseil- lers, le nouveau Conseil ré-. gional s’est réuni pour élire l’exécutif et parler des prio-’ rités régionales. La premiére décision du Conseil régional fut d’a- vancer la somme de $600.00 & l’association ‘‘Les Fran- - cophones CB’’ pour subven- -tionner une partie d’un camp de vacances ouvert 4 tous les enfants francophones de la province. : Le Conseil régional se -pencha également sur le probléme de 1’information et communication dans _ le Grand Vancouver. Il _ fut décidé de contacter le Cen- tre d’information dans le _- West End pour y avoir un - bureau. L’adresse du Conseil ré- gional du Grand-Vancouver se trouve qu 3213, rue Cam- bie 4 Vancouver. Voici la composition du Conseil ré- gional; Président: Angelo Scopazzo | Vice-Présidente; Marguerite Batut Secrétaire: Jean-Pierre Desmarais Membres de l’exécutif: André Piolat Jean Ste-Croix Constantin Hiebner Conseillers: Héléne Hiebner Dr. Henri St-Louis John Condit Denise Baillergeau Patricia Harland Maillardville DECES :M.H.-P. SURETTE Le 3 juillet, nous appre- nions avec regret le décés de M. Henri-Pierre Surette agé de 81 ans. : M. Surette fut maftre d’é- cole pendant vingt ans en Al- berta. C’était aprés la premiére guerre, oi il ser- vit en Europe et 4. Viadivos- tok,en Russie, qu’il se ren- dit Aa Morinville, Alberta comme professeur bilingue. Il enseigna également 4 Riviére-qui-Barre, 4 La- moureux, et dans le district de Saint- Paul avant de démé- nager 4 Edmonton en 1938. La, il fut actif dans la com- mission scolaire de la pa- roisse de St-Francois du Nord Edmonton et dans le Conseil La Vérendrye des Chevaliers de Colomb. Les 22 derniéres années se passérent sur la Cote Pacifi- que - Richmond, Abbotsford, Sidney et finalement a Maillardville. Exactement. un an auparavant, Henri et Cécilia Surette célébraient leurs noces d’or entourés de leur six enfants et 14 petits- enfants. “ Au service, qui eut lieu le 6 juillet dans 1l’église Notre- Dame-de-Lourdes, Mail- lardville, on remarquait la présence de Son Excellence Mgr. James Carney, arche- véque de Vancouver, le T.R.P. James Gibson, Ofm provincial des franciscains, le R.P. Paul Surette, Ofm., curé de N.D.-de-Lourdes, Maillardville, le R.P Nes- tor Therrien, curé de N.D.- de la Paix, New-Westmins- ter, le R.P. Georges Che- vrier, Omi., curé de N.D.- de-Fatima, Maillardville, le R.P. W. Collins, Ofm., cu- ré de St-Frangois, Vancou- ver, qui fut le précidateur de circonstance, et le vicaire de la paroisse le R.P. Canisius Seiferling, Ofm. Les Chevaliers de Colomb des Conseils de Maillardvil- le et de Coquitlam formai- ent la garde d’honneur, et Mme. Thérése Carriére di- rigeait la chorale de Lour- des. : : M. Surette est survécupar son épouse: Cécilia (née Boissonnault); ses 3 fils: le R.P. Surette, Kim de Vancouver, Henri de Le- duc; ses 8 filles: Thérése Dous de Sydney, BC, Simon- ne Turner de Coquitlam,BC, et Rita Lukaniuk d’Abbots- ford, BC. = Se aS . accusé ‘‘d’esprit de Pour un frangais vivant au Canada, ce jour-la évoque u- ne journée joyeuse, les lam- pions et guirlandes sur les places des villes et villages, les feux d’artifice dans tout leur éclat, surtout 4 Paris, ‘et pour finir les bals dans les rues, la gaieté, le vin coulant A flots, le bonheur de se sentir tous. - .un peu fous. Ici, A Vancouver, cette fé- te, plus que frangaise, cette féte de la Liberté et aussila féte de l’union de tous les francophones a été célébrée d’une maniére grandiose par le groupe des FRANCOPHO- NES C.B. Avant méme le commence- ment du dfnmer, des gens de la rue se demandaient pourquoi il y avait tant d’allées et - venues dans la rué Davie et. particuliérement au No.1167. Certains virent que nous célébrions notre Féte Natio- nale, méme ce chauffeur de taxi venu prendre des cli- ents, tard A la fin de la soi- rée et quia déclaré: O, Yes you celebrate la ‘ ‘Prise de la Bastille. I remember’’. Le souper de choix, aux sauces veloutées et aux vins corsés a, dés le début, créé une ambiance gauloise et la décoration de la salle aux tons tricolores nous trans- portait par dela les mers et les continents dans quelque bourg ou ville dont nous par- lons plus haut. Si bien qu’au dessert, plusieurs d’entre nous avaient retrouvé leur patois natal et quelques-uns parlaient méme provengal. L’orchestre, dont nous de- vons féliciter les exécutants, n’arrivait pas Acouvrir les conversations animées mais la Marseillaise se fit enten- dre par toute l’assistance, dont le coeur. . .battait un petit peu plus vite. Quand le bal a commencé, les lam- pions de la place de la Bas- tille et ceux du Rond- Point de l’Etoile s’étaient éloignés dans la brume de nos réves.: Parmi les invités présents, au moins 70, il y avait tant d’ambiance qu’il n’a pas été possible de remarquer les personnalités importantes; d’ailleurs, ce jour-la, ne sommes-nous pas tous é- gaux. Quant aux danseurs et surtout danseuses, il y avait tant de jolies jambes en mou- vement qu’il a été impossible de les compter. -On peut seu- lement étre sur qu’il y ena- -vait un nombre pair. Nous vous donnerons plus de détails: la semaine pro- chaine, Lettres au c'est quoi la realité? Cher M. Piolat, Je trouve la lettre de ‘¢Franco-Colombien indigné’’ bien courte et percutante.. Quant aux réponses. . .! La thése de M. Dion est absurde (M. Motte la par- tage un peu aussi).. Non seu- lement nous résistons a l’an- glais, sans suivre le plan Lé- vesque, nous sommes de plus en plus vivants et dynami- ques tous les jours. M. Dion aurait dQ visiter Vancouver il ya dix ans!! D?’ailleurs, s’il n’en est pas content, je lui suggére d’y participer... ~Cordialement, Un ‘fancien du Soleil’’. (Dr) N.K. Barbour. P.S.- Je ne veux pas 6étre clo- cher’? mais il me semble que la FFC a recu $40,000 du Canada et a aa se battre pour avoir $6,000 du Qué- bec - n’est-ce pas? les besoins réels Monsieur le Rédacteur; A lVoccasion des Fétes de la St-Jean A Vancouver, je me suis promené rue Cambie et dans la 16€ avenue et j’ai visité les différents locaux qui abritent la Fédération des Franco-Colombiens, le Centre Socio-culturel, le So- leil, etc... Mon opinion est que nous devrions avoir un immeuble assez grand pour réunir tous ~ les services présentement dispersés, par exemple, & - deux étages, de 100 pieds de long et 50 pieds de large, en- viron, oi 1’on trouverait sal- -les de réunions et cuisine au sous-sol, différents bureaux et services au rez-de- chaussée et le journal ‘‘Le Soleil’? au premier étage. A mon avis, l’endroit idéal ~ serait Maillardville, endroit reconnu comme ‘‘the french town’’ et les services pour- raient étre offerts tous les jours de la semaine. Les Allemands ont aussi leurs services regroupés sous un méme toit; les Ita- liens ont en plus un cinéma; les Grecs, les Chinois, etc. - epourquoi paS nous. ~ Si c’est tout ce que nous a- vons 4 offrir aux visiteurs .et aux jeunes, dans la rue Cambie et la 16é., il y de quoi avoir honte. Si on veut respecter et imposer ‘le fait frangais au Canada, et ici A Vancouver, il faut avoir un établissement digne de souhaiter la bienvenue a tous les gens. S’il est important d’avoir une base, il faut aussi avoir l’idée de s’unir tous, en a- mitié de toute nationalite, et pourvoir écrire des paro- les telles que: ‘‘Ici, on parle francais’’, ‘‘Aqui lo parlate Italiano”, **English spoken here’’, ou ‘‘Man spricht deutsch’’. M. Lecompte. Vancouver accroches au passé? Monsieur, Il me fait plaisir de vous envoyer quelques notes sur mon parent et concitoyen de St-Nicolas de Lévis: Mon- seigneur Modeste Demers (1809-1871) premier évéque de Victoria, Ile Vancouver- Tous ceux parmi vos lec- teurs, quise nomment De- mers ou Gingras sont priés d’envoyer leur nom et a- dresse au soussigné, ainsi que noms et lieux de mariage de leurs parents et grands- parents. A défaut de ces ren- seignements, tout corres- pondant devra fournir le nom d’un grand oncle ou d’une grande-tante, ou d’un parent - - eavec date approximative de mariage et lieu de rési- dence dans la province de Québec. Renseignements gratuits. Ecrire & Raymond Gingras 39 Ouest, St-Cyrille,apt.5 - . Québec, GIR 2A3, P.Q. - Canada - j a Nos lecteurs : Nos colonnes vous sont ouvertes, envoyez-nous Pour un -unijambiste? A Tucson, Arizona, Mlle Sylvia Paris a trouvé une boite dans laquelle se trouvaient 21 bottes, toutes du pied gauche... ‘VENTE & ECHANGE | DE LIVRES USAGES. FRANCAIS -- ANGLAIS (