* a he map a pie ase Fe, , sate o
‘a. 2. Toutes les fois que je suis allé dans un pub, en entrant j’ai eu l’impression que les gens s’enniyaient et en par- lant avec eux cette impres- sion s’est confirmée. Plus les gens s’embétent, plus ils se frustent mutuellement, tout ¢a débouche sur un. cli- mat tendu.e Pas surprenant que dans plusieurs grandes villes américaines, lorsqu’ on sort le soir, l’on sente cette odeur de violence dans les endroits publics. Ce qui me raméne 4a l’esprit la re- marque qu’ont souvent les personnes qui viennent de l’Est du pays en visite 4 Van- couver ; ‘fon dirait une ville américaine’’. +9 .0-9. eee" 207026 -0-0. SOI “0-0-0767 oneete*, Sees OO ‘a*a" 2" ‘ee ., 5 " BS re epecetete: 3. Le nouveau gouvernement provincial semble se soucier de la qualité de la vie, espé- rons que des mesures éner- giques seront prises afin de favoriser la création de petits cafés et bistros qui donneront aux villes de la province une certaine joie de vivre. Il ne suffit pas de dire qu’en Colombie les gens mangent a leur faim et qu’ ils ont de quoi se vétir : il existe une autre sorte de misére dans nos banlicues. L’isolement, les zesies ré- pétitifs, Vennui, le manque 4 vivre, sont des petits coups d’épingles qui tuent 1’étre aussi sQrement que les coups d’épée. Il faut au plus vite que des endroits populaires (bistros, cafés, sall2s de danses, etc.) se créent pour que l’on débouche précisé- ment sur des fétes popu- laires. Une société ot la féte a disparu, ow le jeu est devenu une au:re indus- trie est une société malades. Je refuse de mourir devant la télé. bistros et s Vous aimeriez voir une bonne équipe de hockey cana- dienne-frangaise 4 Vancou- ver . Ca s’organise. Ils ont méme déja commencé 4 pra- tiquer. Vous voulez jouer, vous voulez leur aider 4 s’acheter des chandails, ¢a vous intéresse . alors ilfaut appeler Michel Blais au nu-. j méro suivant : 327-8897. Pe ee ee gil SIA pte ey A A ie ee A Se AES PR Bo A ar 8 SN a 2 Ps.