2, 1’Appel, Vol. 6 no. 7, Septembre. de la premiére A LA RE a vous la parole Nous ne pouvons pas uniquement compter sur des subventions, Pour ma part, je ne suis pas convaincu que les Franco— colombiens ne soient pas en me— sure de financer leur organisa— tion; tout au moins leurs réu— nions, A titre de président d’une as— sociation démocratique, dont le dynamisme dépend uniquement de la participation de ses membres, je demande & chacun de réflée— chir sur principe d’auto—gestion. C*est dans la mesure ot: nous pourrons assurer nous—m@mes l’organisation et la viabilité de nos cadres et de nos activités que nous démontreront notre po— tentiel collectif et communau— taire, Les valeurs culturelles qui nous ont été léguées méritent—elles d’etre retransmises a nos enfants?. . . Si oui, est—ce possible d’y arriver sans prendre nous—meémes la large part des responsabilités? ‘Aide—toi et le Ciel t’aidera’”’ dit l’adage, Si, aujourd*hui, certaines agences gouvernementales se trans— forment un peu en un genre de ere)? 1’auto—déter mination n’en est pas moins de rigueur. Qu’en dites—vous? V avis aux francophones de cette Vous pouvez @tre de ceux qui sont convaincus de la dualite culturelle et linguistique du Ca— nada. Vous pouvez @tre de ceux qui n’y croient pas du tout. Vous pouvez @tre du grand nombre qui voudrait en discuter, se poser des questions, et décider de quel f cdté pencher quand toutes les pieces du casse—t@te auront été mises en place, Il n’y a rien ] & perdre et tout & gagner & con- naitre la pensée des ,autres i et & pouvoir partager ses pro— pres opinions, C’est sans plus de prétention ques’amorcera, les 10 et 11 octobre prochains, un fondeur de la francophonie co— lombienne, L’objet principal de la tenue d’une RENCONTRE GENERALE consiste a mettre sur pied les infra—structures de cette con— sultation qui devrait aboutir, d’ici quelques mois, & un CONGRES GENERAL qui nous donnerait déja des réponses valables sur les i aspirations veéritables de la po— pulation qui parle encore fran— i gais, ou qui partage les pré— | occupations de la francophonie canadienne, FOR MULE D*INSCRIPTION, accredites. vous inscrire au deux, Samedi, Samedi , ee Caer oan cra eae Aare naan eer ami oon (2 ENDROIT; 10 octobre, Dimanche, 11 octobre, 10;00hrs 4 12;00hrs, QUELLES SONT VOS ACTIVITES L*APPEL est 14 pour permettre aux groupes de faire connaitre leurs activités, leurs objectifs et les moyens qu’ils veulent me tre en oeuvre pour atteindre leurs buts, Faites—nous parvenir vos rap— ports durant la derniére semaine de chaque mois et ils seront publiés, Nous aimerions, toutefois » que ces rapports soient d'intéret ge— néral, Autrement l’espace man— querait, Une suggestion? En voici une! Vous auriez avantage 4 faire connaitre aux autres gourpes les aspirations du votre. Vous pré— parez—vous 4 consulter les pa— rents au silet du francais & 1%cole? Il n*y aurait pas de meilleur moyen de faire prendre conscience de ce probleme que d’en faire l*exposé dans L’APPEL a partir des expériences parti— culiéres de chacun des groupes concernés, Ne pensez—vous pas qu’en adoptant cette formulede dialogue vous pourriez peut—étre motiver votre groupe 4 mieux s’y in— téresser? Donec, nous attendons votre rapport d’ici le ler octobre. C’est, en particulier, 4 ceux qui veulent jouer un role dans 1’élaboration de la recherche, la formation des comités, com— missions de travail, animation des groupes, etc., que l*invitation est lancée, La réunion elle—m@me n’a pas pour but d’arriver 4 des con— clusions. Il n*’y sera donc pas question de savoir si oui ou non le francais est viable en Colombie Britannique, si les francophones de cette province ont abdiqué ou non au profit de la suprématie anglophone, Ces réponses dé— pendent du degré de détermina— tion de la collectivité et non pas de l’opinion, si bien présentée soit—elle, d’un ou de plusieurs individus, L’hypothése de départ consiste a savoir qu’il y a, en Colombie Britannique, quelque 80,000 per— sonnes qui, potentiellement font partie de la communauté fran— cophone, Nous savons qu’elles sont 18, mais nous ne pouvons pas présumer de leurs aspira— tions. Il est meme plus que probable que , dans l’ensemble, ces francophones ne se sont pas posé la question de fagon sé— rieuse. I] y a donc deux perspectives 2.00 hres. 4 5:00hrs 12:00hrs, Diner, 2:00hrs 4 5;00hrs, KINGSWAY MOTOR HOTEL 3484 Kingsway, Vancouver, <= LE GROUPE FRANCOPHONE DE LA C.B’. OFFRE AUX CONGRES— ( SISTES DES 10 ET 11 OCTOBRE UNE SOIREE SOCIALE LE pa A 9:00h DU SOIR. OCTOBRE AU Saas Caen TOR HOTEL, 3484 KINGSWAY, dans les démarches a entrepren— dre. L’une consiste & poser les bonnes questions. lfautre, 4 ob— tenir des réponses rationnelles plutot qu’émotives ou. instinc— tives. C’est pourquoi, sans vouloir imposer & personne le silence sur leur philosophie nationale, une certaine procédure sera im— posée, de sorte que les grandes theses sur l’avenir seront ré— servees pour la dernitre étape, celle du grand congrés,. ‘ -Pour le moment, la FE— DERATION, d’une part, setrans— forme temporairement en une structure d’encadrement et d’ad— ministration d’un programme qui vise & permettre 4 la commu— nauté entitre de se prononcer sur ses aspirations; et, d’autre part, elle se remet en cause et acceptera le verdict qui éma— nera du couronnement de cette consultation en profondeur. Voulez—vous @tre 1’un ou ]’une © de ceux ou celles qui contri— bueront 4 cette refonte de la com— munauté francophone de la Co— lombie Britannique? Si oui, remplissez la formule d’inscription publiée dans cette page. RENCONTRE GENERALE convoquée par LA FEDERATION CANADIENNE FRANCAISE DE LA COLOMBIE BRITANNIQUE, pour les 10 et 11 octobre 1970, afin de jeter les bases d'une CONSULTATION EN PROFONDEUR de la Francophonie colombienne sur ses aspirations collectives. La RENCONTRE GENERALE sera précédée par une ASSEMBLEE SPECIALE desmembres Si vous @tes un membre actif ou délégué officiel d’un organisme membre, vous pouvez HORAIRE: ASSEMBLEE SPECIALE ( Membres accreédités et membres) 10 octobre, 10:00 hrs, & midi, RENCONTRE GENERALE ( ouverte 4 tous les membres) INOVW15 see v0 16 9! 010.0 0 020! 0-0 0,0 020. ST 0 5 p20 9:0:0 ier 0 070 br o%e 6 6.0)'010:0.9).6, ¢ 6.002656 0 050: 018ie'e WULESSCS y= 9. sie avs 0). sip ne 6: 65010 0p 0.0 ¢ 6. 0 0 0.0\070'0 <0 Ville, eeccccece e@ececoveeeeoe cee MLClose cite s-6 ore’ eetele) ese) els esis sie 6 se 6 Organisme représenté;. . . J’accepte de payer le la tenue de ces assises, Svp — Retournez 4; FCFCB, (Couple $15.00, Etudiant $5.00) eee eeeeee eeoee Je participerai a titre personnel ( ) Montant inclus (_ ) prix d*inscription de $10.00 afin d’aider &.défrayer le cott de 1013—B Brunette, Maillardville, B.C. ———— ee Oa a. aS a. as Sa 22s se se es ION GE L*hypothése de travail... ee» La Communauté Franco— Colombienne, moins que la collectivite de langue francaise de la Co— lombie Britannique n’en décide autrement, l’objectif ‘a long terme pr ésentement poursuivi par les mouvements cana— diens francais consiste a REALISER LA COMMU— NAUTE DE LANGUE FRAN— CAISE DE CETTE PROVINCE dans un pays qui se prétend - la patrie de deux cultures” principales, Par des méthodes ou des truchements différents, sou— vent définis dans des termes qui ont pu varier au cours des années, ce sont toujours des buts communautaires qui ont été poursuivis, Ce n’est done pas une invention nou— velle que celle de vouloir ré— aliser la communauté, Ce qui est nouveau, cependant, c*est que la communauté dont on parle aujourd'hui revet un sens global, qui la distingue radicalement des Tlots mar— ginaux dont se contentaient nos devanciers de 1*époque ‘tor ébibi®? (néologisme pour désigner 1’époque qui a pré- cédé la Commission Royale d’enquéte sur le Seems et le Biculturalisme),_ Aujourd’hui, il n’est ita réaliste de fonder des espoirs uniquement sur quelques ins— titutions qui, souvent, échap— pent au controle du groupe qui se les ai données, Il fau— drait @tre naifs, par exemple, pour croire que quelques a— méliorations dans les services ou une certaine euphorie pas— sagere auront une bien longue portée si les mécanismes auto—déter minants ne sont pas utilisés A fond. En 1970, COMMUNAUTE est synonime d’organique, C*%est—a—dire qu’il n’y a pas de commu— nauté réelle si tous les or— ganes complementaires de dé veloppement, d’épanouisse— ment et de défense ne sont pas entre les mains du groupe et sous son contrdle. Les forces quitransforment la so— cieté en général n*épargneront strement pas les groupes i— solés, et encore moins les individus, si ceux—ci ne se regroupent pas en fonction de valeurs & préserver et de leur potentiel. Pour @tre pratique La notion communautaire peut @tre interprétée de dif— : Messes -dominicales: : Parsicce Nationale Canadienne aoe : RP. ‘Henri Meek, SSS, cure, : Bingos bilingues : : Jeudis. él, bie 3080 _qui desser vent les FRANCOPHONES 3196 Heather, 8, 9, 10, ll:i5hrs, 5h, P.M, .ME—DE—LOURDES, 820 Laval. Ie de 1"6cole, 1800 Hammond, 3, 1’Appel, 216 Carnavon, ‘Tél, 522—5353 Vol. 6 no. 7, Septembre. ~& NEW—WESTMINSTER ;: Paroisse SOTA DAMS te tae ae -Paroisse nationale Canadienne francaise, L*abbé Nestor THERRIEN, curé, -Messes dominicales; 9h, et 11h. Bingos : jeudis, 318 Keary, _ & MAILLARDVILLE ; -Paroisse NOTRE—DAME—DE—FATIMA, ' - R.P, Guy Michaud, 747 Alderson. 936—2525 omi, cure RAP. Ee Dénommeée, omi, vicaire _ RP. E. Labonté, omi, vicaire Messes en francais; 7;30h, 1ih. “Messes en anglais ; 9h , 5:15h. Bingos ; Jeudis, sous—sol de léglise rue Walker. ERALE DU 10 OCT. férentes facons, C’est pour cette raison qu’il faut provo— quer une situation qui permette de préciser ce que COMMU— NAUTE peut impliquer pour une collectivité minoritaire, marginale et dont 1l*identite n*est reconnue qu’en-principe. Est—ce qu’on peut, par exem— ple, prétendre rémplir les conditions d’appartenance a la collectivité canadienne de _ langue frangaise siles moyens de transmettre cette réalité chez nos enfants font défaut? Peut—on parler d’un controle, m@éme indirect, d’outils aussi nécessaires aA 1?epanouis— sement d’un groupe que 1’é— cole, s*il faut en réclamer l’usage & deux genoux aupres de personnes qui ne parta— gent ni notre culture ni nos préocupations? ... Mais, ces quéstions demeu— rent académiques si elles ne sont pas ressenties conjointe— ment par des gens qui peu— vent non seulement prendre conscience individuellement mais discuter entre eux du probleme, recevoir de 1*’in— formation quant 4 leurs droits fondamentaux, considérer en— semble des demarches possi— bles, et, enfin, dévider en faveur ou contre la proposi— tion de relever un défi qui n’est pas de petite taille, Car, nous ne pouvons pas l’oublier, il ne s’agit pas seu— lement de recevoir notre juste part des services publics; d’avoir la radio et la telé— vision francaise, de pouvoir envoyer ses enfants 4 une école oti se donnent des cours en frangais. Toutes ces cho— ses, quoique nécessaires, ne peuvent pas faire contrepoids face & l*’écrasante influence du milieu de vie. Il va fal— loir aller jusqu’au bout du - raisonnement; s*il n’y a pas de défense efficace contre un milieu de vie Stranger, il faut etre pret et en position de -eréer le sien propre. Ceci dépasse de beaucoup la notion ordinaire que se font géné— ralement les francophones de Colombie Britannique, de faire partie de la COMMU— NAUTE FRANCOPHONE du Canada. Ils en font peut— etre partie spirituellement par quelques petits truchements accidentels et temporaires, mais déja, dans la plupart des | cas, ce lienspirituel est rom— pu pour la génération mon— tante, L*’hypothése de travail qui est proposée depuis quelques années pose la notion com— munautaire sur deux paliers; le palier spirituel, qui est cette conscience de faire par — tie de la grande famille fran— cophone du Canada et dumon— de et d’en partager la cul— ture. Le palier physique, qui consiste dans les rapports humains, sensibles, quotidiens qui existent entre gens qui peuvent communiquer en— semble dans leur langue. Pour ceux qui nous appor— teraient l’objection classique de la nécessité de l’anglais, nous leur rappellerons qu'il n’est pas nécessaire d%tre surdoué pour. l’apprendre, C*est la source la plus fécon— de de notre alliénation col— lective. | VOYAGE AU CAMP KATIMAVIK Le 27 aout 1970, six jeunes de la Colombie Britannique KGa toine Dion, Roland Moreau, Mar— cel Fournier, Marguerite Bra— dley, Yvette Lamothe et Eliza— beth Martin) ont pris l’avion pour descendre au camp Katimavik en Ontario. Il y avait 58 jeunes représentants de 7 différentes provinces sans compter les 12 hdtes et hdtesses de la province— hdte, 1’Ontario, Nous étions par— ticipants au 4 lec¢ons sur le pro— gramme, II y avait 3 différents groupes: Leadership, dialogue, communication, Le but de ces legons ou sessions était de nous montrer comment former un groupe, le garder en marche etc, afin que nous puissions & notre retour dans notre propre pro— vince partir des organisations francaises, Les sessions nous ont bien profité mais il nous en aurait fallu plus que 4, Mal— heureusement nous nepouvions demeurer aucamp plus longtemps car il fallait retourner chez nous pour le commencement des clas— | ses car la plupart de nous som— mes étudiants, Durant ce voyage nous avons fait la connaissance de plusieurs jeunes ce qui fut trés intéressant et plaisant. Nous avons aussi discuté des difficultés que les Francais ont dans leur province afin de garder leur langue, En tout, le voyage fut tres intéres— sant et éducatif, Au nom des 5 autres partici— pants de ma province, je tiens 4 remercier le Secrétariat d’Etat pour nous avoir subventionnés et fait participer a un si intéres— Sant voyage, également 1*AP— MJOF pour avoir bien dirigé ce groupe. J*’aimerais aussi re— mercier la Fédération Cana— dienne Frangaise de 14 C.B, pour nous avoir choisis comme par— ticipants, Elizabeth Martin, GUBERGE LA CALECHE En ce samedi 22 aott, trois canadiennes se retrouvent dans l’avion qui les emmeéne & Ste— Agathe des Monts, Québec. Ce sont les délégués des trois différents groupes d’expression francaise de notre province qui se rendent au stage in— " tensif d’animation sociale, orga— nisé tous les ans par la Fé— dération des Loisirs—Danse du Québec. La Fédération des Loisirs— Danse du Québec est un orga— nisme incorporé & but lucratif dirigé et administré démocrati— quement par ses membres, En collaboration avec les divers Conseils Régionaux qui planifient le loisir dans vos régions, la F LDQ réalise un vaste program— me de régionalisation des diver— ses disciplines (animation sociale de danse, animation culturelle folklorique, danse sociale mo— derne, technique d’expression par la danse), Pour la premiere fois cette an— née, toutes les provinces étaient invitées et huit envoyerent des Stagiaires, 90 personnes se re— trouvérent donc & l*Auberge La Caléche pour débuter une semaine des plus enthousiastes. La journée débutait A 7:30hres par un réveil en fanfare et qu’elle fanfare! puis un petit déjeuner copieux, suivi de quatre périodes de cours et d’un atelier libre. Pour nous remettre de nos ef— forts de la matinée, un lunch, aussi bruyant que joyeux, nous réunissait de nouveau tous, puis nouvelle série de 4 périodes, un autre atelier libre et le souper. Une soirée dansante de 2 heures nous permettait , tout en nous amusant, de mettre en pratique nos connaissances de la journée. Pour cldturer on présentait une émission humoristique simulée de T.V. Les professeurs & notre dispo— sition étaient tous d’une com— pétence remarquable. Leur compétence n’avait d’égale que leur dynamisme et c’est avec admiration que nous les avons vus animer ce groupe aussi peu homogéne que possible, les sta— giaires venant d’unocéana l’au— tre et les Ages variant de 15 & 60 ans. Voila pourquoi ces trois fem— mes aussi différentes que pos— sible se retrouvent dans 1l’avion avec ce meme idéal: “pouvoir faire communiquer’ entre eux toutes les personnes d*’expression ou de désir francophone au moyen de soirées de danses récréati— ves. Colette Huguette Jacqueline, journal des nouvelles NOUVELLES DE VANCOUVER Ecole Saint—Sacrement: a) Personnel enseignant pour 1970—71: Sr Blanche PERUSSE (responsable); Sr Suzanne LE— BLANC (directrice & titulaire de la Te année); Sr Béatrice MORIN (6e); Sr Claudette LE— DET (5e); Mme Harold BRIN— GSLI ( assistante professeur de 5e); Sr Monique BARETTE (lére); Sr Rachel GIGUERE (professeur de chant et de piano); M, Alex STRAIN (prof. de culture phy— sique.) b) Nombre d’éléves inscrits a date: 189, dont 34 en 1ére année; 25 en 2e; 29 en 3e; 22 en 4e; 29 en 5e; 24 en 6e; 26 en 7e. ec) Un “Jardin d’Enfants’ bi— lingue fonctionne dans la parois— se, pour la 3e année consécu— tive, et se sert, comme local, de notre salle paroissiale, Il compte, cette année, 15 enfants. Sa directrice est Mme Paula WALDEN, dont le téléphone est 922—2733,. Mouvements Scouts & Guide a Saint—Sacrement: Nos jeunes de ces deux mou— vements paroissiaux reprendront leurs activités d*ici une semaine ou deux. L’inscription aura lieu aux jours suivants: 4 la salle Saint—Sacrement: a) Pour les Guides et les Jeannettes: lundi, 14 septembre, de 3:30h & 4:00h P.M, b) Pour les Scouts et les Lou— vetaux ; mardi, 15 septembre, de 6:30h 4 ——:00h PM, Jours de réunion hebdomadaire et responsables de chaque groupe: a) Les Louvetaux se réuniront le lundi soir, & partir du 21 sept. de 6:30 4 8: 00h, et auront comme akéla, Mme James McKAY, et comme baloo, M, Lazare MOo— REAU; - b) Les Scouts se réuniront le mardi soir, & partir du 22 sept. de 7:00h & 8;30h; leur scout— mestre sera M. Francis MUR— PHY, qui sera assisté de M. Garry PHILLIPS; c) Les Guides auront leur ré— union le mercredi soir, & par— tir du 23 sept., de 6:30h a 8h, Leur cheftaine sera Mme Michael MORIARTY; l’assistante chef— taine sera Mlle Valérie LAPOIN— TE; d) Les Jeannettes auront la leur le vendredi, aprés les classes, de 3:15h & 5:00h, Leur chef— taine sera Mme Bérangtre PAN— DYA, qui sera assistee de Mme Priscilla BROWN, REMERCIE MENT 100-0 0-00-00 0-0-0 00-6 mtatatatatatetahatatstaats A. leur entrée en classe, les éléves de Notre—Dame—de—Fa— tima, de Notre—Dame—de— Lourdes ; et deSaint—Sacrement avaient le plaisir de recevoir des livres de Francais tout neufs, Ces volumes, nouvelle édition, de méthode dynamique, sont a lustrés et tres attrayants. Nous sommes redevables 4 la Fédé— ration Canadienne—Frangaise de la Colombie Britannique, d’avoir verse $750. 4 cet achat. _ Nous apprécions ce geste ge— néreux et nous voulons par la voie de ce journal, remercier chaleureusement la Fédération, une fois de plus, de cette aide précieuse, Le Conseil pour l’Enseignement du Frangais, Soeur Rolande For— tier, secrétaire. ees URS Visiteurs de marque; les RR. P.P, Edouard Buissiéres et Fer— nand Clavet . respectivement supérieur provincial et économe provincial des Péres du T.S. Sacrement du Canada sont en visite & Saint—Sacrement de Vancouver depuis le 12 aowt, Nous leur souhaitons un heureux et fructueux séjour parmi nous. Décés de M, Jean—Marie PARI~— SIEN, survenu le 24 aout; il avait’ 88 ans et habitait Vancouver depuis 1905. M, Parisien fut employé, presque toute sa vie, du quotidien ‘‘The Province”, de Vancouver et fit partie au -moins 60 ans de J*union des typographes, Il était le pere de Mlle Loretta PARISIEN, de Vancouver, et de Mme Norma EDMONDS, de Californie, i : 4 i