ae a
de ia présente publication.

Vol.1 ‘No.8

io statu quo sur
les langues

- QUEREC: Le premier ministre du Qué~
bec, M, Jean-Jacques BERTRAND, a de~

devraient observer le statu Quo tant
et aussi longtemps que l'on ne sere
pas arrives 2 une solution mediane
entre le bilinguisme et 1l'unilin-
guisme,

Interroge sur ses intentions au
sujét du Bill 85 sur les droits lin-
guistiques, M, BRRTRAND a répondus

" Les principes sont connus et
ce sont ies miens ", TL a ajoute que
pour ce qui a trait au projet féde-
ral sur les langues,le Québec en ac-

réserves quant aux districts bilin-
BUCS. t
w Nous lfavons repeté recemment
- au ministre canadien de la Justice,
- -M, John TURNER," adit M, BERTRAND,
i ee nous souhaitions ctest
ase clio’ n taille — adopter pativenent

: Houltes cata chose,"
tLe gouvernement du Guéebec ntap-
_- prouve pas la definition de l'edu-
cation que lui donne le gouvernement
federal, dans son projet de loi sur
lp television éducative. Le féderal:
n'a aucun pouvoir dans ce domaine, "

George: lsteehe
U NE ETOILE FILANTE

Avec un nom ‘comme le sien, nul
Pe ene s'etonne d'apprendre,qu'un beau
jour, ce gaillard sympathique, ori-
ginaire de Winnipeg au Manitoba,prit
un depart ™ en fléche "qui L'a con=
duit au succés,d tun: ocean a j'autre,
Aprés Montréal jWinnipeg, Saint—
Boniface, Toronto, le voila rendu a
Vancouver, pour le bonheur des audi-

_jvolontiers charmer durant ses émis-
_jsions, telle le " Georges | Lafleche
eeooy tou n'importe quelle autre é-

(suite page 12)

Le Ministre des Pustes a a autories Vaffranchissement en

clare que les commissions scolaines

cepte le principe,mais maintient des

ueraib a: créer,

- trices de C.F.U.N, qui se laissent

“LE SOLEIL

de vancouver

SANS PEUR - NI FAVEUR

C'est le seul moyen que j'ai trouve pour m'échapper
de la page 6......

tiennent aes
saltimbanqués tt;
foire en fone
-Sants; et des 6
avec des pommes \
de marché. Chris

d'intoléts
évitaient®

: Nouveau

de ma’

pone eee Dupe ae Ci
boys et d'In@iens qu'il pr¢é
ne sur deux continents. jf

A notre époque, les cep
les d'Europe réservent a&
cirques de passage, les. Bot
ne, les Busch, des édifice
permanents ornés de loges,
‘ciéres et de fauteuils ~
tours « Quant aux cirqua

Hold-up et vol

:
Pour le’ deuxieme fois en un peu

plus d'un an,la Caisse Populaire St-
Sacrement, servit de‘theatre ‘a un
™ hold-up ", 4

Mardi- dernier, deux bandits ar-
mes se sont echappes avec $1,422, 00
voles & la Caisse apres avoir battu
deux clients.

Ds firent irruption a la Cais-
se vers 11.40 a.m,,lancant la menace
" Ne bougez pas ", 1s ont ensuite
commande a M, Henri Besuper ans de se
coucher par. terre,

Ctest a ce moment que, M. Paul
Giguére, sortant d'une piéce arriere,
fut batty et assomme par un des ban-
dits.

M Mecsas. un client, recut
egalement, un coup derriére la tete,
quand il voulut monomer: ce qui se
passait.

Mme Yvonne Abgrall, la caissie-
re,et un autre client, M, Pierre Be—
noit, durent eux aussi, obtemperer
aux ordres des cambrioleurs et stal-
longer sur le sol,

Les voleurs stenfuirent dans ue

Excusez les dégats..

‘pour aller égaye
d'un vieux manoir

IE SEUL HEBDOMADAIRE

DE LANGUE FRANCAISE DE

LA COLOMBIE BRITANNIQUE

15¢

Venda? 28 mars 1969

* a l‘entracte, des
hilares gambadent dans
3° et font ‘fuser les

perdue,
chatelaine

grosses
tours.

a main armée

ne Volkswagen blanche. On retrouva

cette demiere /peu de temps apres, La.

voiture avait ete volee auparavant @
l'Universite, Mne Barber eut connais~

sance de la fuite des escrocs, car °

ils avaient. garé leur vehicle en ar-

riére de son domicile,On pense qu'un

complice attendait ses partenaires

dans la voiture,

la police décrivent les fuyards
comme etant ages dtenviron 25 ans,de
carrure moyenne. L'enquéte de la poe
lice suit son cours,

Le 27 février 1968, cette méme |.
Caisse stétait fait voler son coffre
fort. abandonnant aux malfaiteurs un
profit de $2,264,Les deux auteurs de
ce premier larcin furent arrétes et
condamnés par la suite,

Nous espérons que M,Henri Beau-
regard et Mme Abgrall garderont leur
sourire malgré ces évenements et
nous souhaitons, pour eux et pour la
Caisse,que le proverbe " jamais deux
" hold-up " sans trois ™ ne se rea=
lise pas dans leur cas!