et ’ changée sur les quais. LE MONDE DU TRAVAIL L'AVENIR DU PORT EST EN JEU Depuis quelaues mois, nous som— mes innondés dtinformations au sujet des différentes négociations en cours (ou arrétées ) oe se passent en C. Bo, mais dés gutil s'agit de la plus seri- euse et pious dispute pour notre éconouie, c'est le manque le plus com- plet d'informations qui la caracterise Depuis la semaine derniere,le mi- nistre fédéral du travail, M. Mackasey, ' devrait avoir en mains un rapport de la coumission de conciliation surl'ac— tuelle dispute entre les ports de la province et les dockers. Mais aucune inforwation n'a pu étre obtenue sur ce rapport coume sur le reste des né- gociations. Malgré tout, le peu dtin- formations que nous avons, peut nous permettre de nous faire une idée quant aux difficultés rencontrées. Les principales raisons aui font que ces negociations soientdifficiles ctest que les discussions ne sont pas centrées, comme a l'ordinaire,sur une question d'argent. Si elles sont heureuses, & leur dénouement, c'est toute la conception du systeue de travail qui se trouvera Elles rettront le port de Vancouver dans 1'age moder— ne des techniques les plus avancées. Ce que nous savons, c'est que le syndicat des dockers a offertd'ouvrir le port 24 heures sur 24 sur une base de trois equipes. C'est une proposi- tion tres radicale pour un syndicat car elle élimine bien des avantazes a> busifs dont les dockers ont profité jusqu'a présent. Le support niajeur que le syndice a, vient naturellement des grosses oom- pagnies.tel gue. CPR.et.. Kaiser. _ Les quais nouvelleuwent cnstruits devront s'occuper de bateaux de 200, 000 a 300,000 tonnes afin de satisfai- re l'expansion du traffic sur le Pa- cifique. Tl est certain gue ces grosses compa gnies peuvent decider d' enmaga- siner leir ininerai et autres produits sur le lieu de production ou bien sur les guais ce qui, en definitive, equi- vaudrait a des investissements énor- mes pour la construction dtentrepots. _ La meilleure solution serait d' em- barquer directement le minerai sur les bateaux. Cela permettrsit de couper les frais de manutention et dtvoir un systeae de transports efficace puisqu! ainsi les bateaux pourraient effectu- -er plus de voyages. Mais, pour garder en mouvement les bateaux, il faudrait pour cela changer complétement le systéme de travail sur: les guais. Le syndicat est pret a negocier ce changementmais son prix est élevé. les dockers ont demandé 51dIars par equipe et beaucoup de petites com-— pagnies se, dérobent a ce prix. Elles disent que le port n'est peut- étre pas encore prét 4 operer 2) heures sur 24 si le prix a payer est si haut. Mais ces derniers ont plus ou moins tord car le prix demandé ne sera peut- etre pas ee best Ser haut que le cout émentaires et autres be ra mainten ce serait couver cui ‘serait Bess. sources, lesquelles ont _un vol wie con- sidérable de wateriels a expédier. Le Soleil de Vancouver,Page 11, 25 juillet 1969 L‘Angleterre s‘alarme du nombre croissant des avortements LONDRES (AFP) — Les membres de la “British Medi- cal Association’? ont lancé un cri d’alarme contre l’aug- nentation inquiétante du nombre d’avortements pratiques en Grande-Bretagne. Ils ont demandé. au cours de-leur conférence annuelle, l’ouverture d’une enquéte sur la maniére dont la loi autori- sant l’avortement, sous certaines conditions, est appliqueée. Cette loi, entrée en vigueur en avril 1968 autorise |’inter- ruption de la grossesse lorsque celle-ci comporte un risque pour la santé physique ou morale de la mere, de l'enfant a naitre ou des autres enfants de la méme famille. Depuis juin 1968, pres de 24,000 avortements ont été pratiqués en Grande-Bretagne. De trés nombreuses étrangeres viennent en Angleterre pour profiter de cette loi. Une étrangere ne connaissant aucune adresse en Angleterre, affirme le ‘*Dai- ly Express”’, n’a qu ’a débarquer al’ aéroport de Londres et demander 4 un chauffeur de taxi qui saura tout de suite ou la conduire. VOYAGEURS..- - SUITE DE LA PAGE 4 A travers les wiilies de cet immeuble on découvre les masures qui montent 4 l’assaut de la colline. En Colombie, ils furent frappés par la misére enorme y régnant et par l'exploitation des gamins mendiant , wutilés volontairemwent pour étre ex- ploités par des gens cui ne pensent , une fois l'argent collecté, qu'aaller se saouler a la cantina voisine. A Panama, ils retrouvent un peu la civilisation: ils prennent contact avec le comite olympique panameen.Cest au bord du canal qu ils réalisent cue 1' Amérique du Sud est toujours 1'Ame- rique des révolutions et des contre- revolutions. Le seul souvenir du Cos- ta-Rica, c'est 45 miles d'une route de montagne ou ils durent, pendant 10 heures rester sur leur Seecoss de pre- mieré vitesse. i 1s ont encore tres bien en mé- moire le Jardin. et zoo de 1' Amerique centrale gu'a éte pour eux le Nicara- gua.A San Salvador, ils sont passes a la télévision locale avec la chan- teuse nationale "Rita". I1stremblent encore a la pensée des laves fumantes issues d'une éruption volcaniaue lors de leur passages Malgre ce qu! on leur avait dit ils ne rencontrerent “aucun"Guadlleros" lors de leur traversée du pagans Ce qui les a frappes en Colombi que les gen ANWONCES CLASSEES TARIFS: 25¢ la ligne MINIMUM: $ I.00 CARTES D'AFFAIRES ENCADREES: $ A LOUER MAISON A-LOUER - Deux chambres a cou- cher . Pres école et paroisse fran- caise, Téléphonez a 876-2969 5.90 COURS PRIVES COURS DE CONVERSATION FRANCAISE Privés ou semi-privés Tarif raisonnable - Professeur qua- 1ifié - Pour informations t#lépho- nez: 253-2074 apres 16 heures. ON DEMANDE INSTITUTRICH BILINGUE POUR JARDIN D'ENFANTS. Matinée seulement Quartier de Shaughnessy.S'adresser an donnant qualifications et ex rience &-Casier 101,4/s Le Soleil olympique, ils vont vivre une aventu- re peu banale: avec la complicité des athletes frangais, ils vont habiterle village olympique, se faire passer pour des athletes en empruntant | des survetements aux membres de 1" equipe de France et manger avec eux graéceaix tickets qui leur seront donnés enfrau- de. Us vecurent les jeux olympiques presque en y participant, Ls ~- quit- terent le Mexique avec regret et en-— trerent aux Etats-Unis. Is ont trouvés les Américains trés hospitaliers. Ils furent tou- jours invités a4 droite et a gauchepr des gens de toutes sortes. En Flori- de, ils durent travailler trois mois a ramasser les oranges car leur ar- gent commencait a baisser sérieusement. Ils purent ainsi assister aux départs d'Apollo 8 et Apollo 9, toucher Apol- lo 11 en cours. de construction et fai- re la visite compléte de Cap Kennedy le lendemain du lancement d! Apollo 9. Puis ce furent Washinton, Boston, Montréal et Niagara. Ils ont trouvé que la gentillesse. et le bon accueil des gens sont parfois génants. Frangois a été degu par la jeu- nesse américaine des U.S.A., ils s'en- nuient et ils ne sivent pas y remé— dier.T1 semble qu'il préfere sa manie- re de vivre de Frangais malgre leurs extraordinnaires organisati ns sco- laires et sportives qu'il.a trouvées rééllement intéressantes, Au wuébec, ils m'ont dit evoir ¢- té surpris d'étre mieux accueillis par les (uébécois que par les Fran- ais de France. Leur opinion sur i'Alaska: ali ee: n'ont pas pu visiter grand'chose car les moyens de communications presen- tent beaucoup de ape culté, mais d toutes Tagine 1'Alaska demeuera n, piége 4 touristes ou la colt de Js vie semble 6tre le (us éleve au mon- de. Aprés ce séjour dans Vancouv leurs procha ines etapes se a ee ea ae EN A EE one a ee SE ee Ne ee ae Se eS ee t@ | q q { 4 d 4 | { | } { | } } | q 1