CHERS PAREN votre det ixiéme ‘ ¢ d’abord, une mise Nous n’avons d’apprendre tion frangais 4 vos but est de apprendre notre A leur Si vous éte X, LE SOLEIL DI n’. Mais en garde: la preter parler enfants. No VOUS ¢ 4 l’aimer. atistaits, Voulez-vous parler francais avec moi? Le lapin et Le chapeau I> E Le Ay Pie NSE Sel SUR Ee Garay PANU EST-CE QUE LE LAPIN EST SUR LE CHAPEAU® OUI, IL EST SUR LE CHAPEAU EST-CE QUE LE LAPIN EST SOUS LE CHAPEAU ? NON, IL N’EST PAS SOUS LE CHAPEAU, OU EST LE LAPIN ? IL EST SUR LE CHAPEAU. LE EAS Pal NG Esse le SEOs owe bak Gulag esbinAG EST-CE QU’IL EST SOUS LE CHAPEAU ve OUI, «ee. PR eee eee eee OEE EOE ESSE SEES ESSE OES EESESSESESESESS OSES ESE EE OTT O® EST-CE QUE LE CHAPEAU ESI SUR LE LAPIN ? OUI, cccccccsscce ees eseccccoceccccccccccccccccccece seeccceccccvescreersccscers EST-CE QUE LE CHAPEAU EST SOUS LE LAPIN ? aE: Seer ecereresoresesesees: EP ASPaaN > E Ste DyAUN S=215 Ey SCibgAS PEBVAGU EST-CE QU’IL EST SOUS LE CHAPEAU ? NON, SOPHO OO e OOOH ESOS OES ET EOS S EEE EOEEESEEESEES eocecccceces EST-CE QU’IL EST DANS LE CHAPEAU ? QUI, ccccccccceccccvvceses Seer erercercoseccesesscess Pee erreorcasesecesasesees EST-CE QU’IL EST SUR LE CHAPEAU? See tes ereeeeseseeeseeese Pease eeereeeeseseseseses LE GARPINe E-S*t > (DE VeAINIT SE. Ge Agr E VALU OU EST LE LAPIN ? see eeeeeeee PERRO HEE THEO THEE SEE EE EEE SEES SEES ESSE SEE EEEEEESEEESS OU EST LE CHAPEAU @ LE LAPIN EST DERRIERE LE CHAPEAU Peete eeeereeesereessseseseses eeeeecereses FORO Rees eeereeeeeesesessesesse EST-CE QUE LE CHAPEAU EST DERRIERE LE LAPIN NON, EST-CE QUE LE eee eee PPE OS OSOOOTOCOO OC eee eee eee ee eee ee) couragez-nous! Si vous avez des idées ORR eee n ewe eeeeeeeeeees Smee meee mee eeeeeeeneeee ee ee eee eee CPSP STS e CCC Ce eee eee ree) LAPIN EST SOUS LE CHAPEAU ? PPP eee eee ee eee eee rer errr rey nom, Age et numéro de té- ATTENTION: Pour pour les prochai- léphone. nes semaines, écrivez-nous! avoir les meilleurs résul- Dés que vous aurez enseig- tats, enseignez d’abord la né oralement cette lecon, premiére phrase de chaque laissez votre enfant répon- image. dre par écrit et postez-nous Sa réponse sans oublier de NOTE: En cas de difficulté mentionner son nom, pré- téléphonez-nous! CONVERSA:SCHOOL OF VANCOUVER 9, BC 3 WEST 4th AVENUE VA NCOUVER, 12 MARS 1971. LANGUAGES LTD. TELEPHONE 736.540 Tribune Lettre ouverte 4 Marian Bruce. Chére Madame, J’ai lu, avec un trés grand intérét, votre article écrit en anglais dans le journal ‘The Vancouver Sun’’ daté du 27 février et j’espére que vous lirez ma lettre avec autant d’intérét. Je tiens, tout d’abord, a vous dire mon désaccord. Dés le début de votre ar- ticle, dés le titre, pour étre plus précis, vous associez notre perte d’identité avec le B. et Be et vous avez tort. ‘*L’Acte des langues officielles’’ ne s’applique pas dans notre province, en raison de notre faible pour- centage au regard du reste de la population et pour cette raison ne peut entrer en li- gne de compte (pour le mo- ment) avec notre identité ou notre manque d’identité. Votre erreur fut d’avoir confiné votre reportage aux interviews d’un petit nom- bre de personnes et d’en avoir tire des conclusions erronées. Le Fait Frangais en Colom- bie-Britannique est bien vi- vant et vous auriez dQ vous méfier de porter un jugement hatif. Principalement, aprés Il’ entrevue que vous avez eue avec M. J. Goulet. Ce der- nief ‘vous a déclaré ; ‘‘ Pour le non initié, notre culture est mourante icie Mais j’ai vécu en dehors du Québec pendant quarante-six ans et nous sommes loin de dis- paraftre. Je suis trés op- timiste’’. Votre faillite, c’est d’avoir traité un probléme profond et complexe trés superfi- ciellement. A Maillardville, vous n’avez vu que la Fédé- ration et pourtant la Fédéra- tion n’est pas Maillardville, mais la Colombie-Britanni- que. A Maillardville, vous avez trois groupes deux paroisses et une société. Si vous aviez pris la peine de mieux vous renseigner auprés de ces groupes, vous auriez fait la connaissance LA CAISSE | Uibre® de personnes actives. Vous auriez peut-étre senti, aus- si, un courant de regroupe- ment qui en dit plus long sur l’avenir du Fait Fran- ¢ais dans cette localité que toutes les pages que vous pourriez écrire. A Vancouver, vous semblez n’avoir rendu visite qu’a Ra- dio-Canada. Je sais que le poste de Radio a dQ vous sembler bien officiel et sdr. Mais CBUF-FM ne peut et ne représente pas la com-| munauté des gens de langues frangaises de Vancouver. Vous n’étes pas allée voir les associations de langue frangaise de notre commu- nauté, toutes récentes, et qui font preuve d’une grande vitalité, qui sont jeunes et dynamiques. Vous n’avez pas non plus rendu visite A notre jour- nal ‘*Le Soleil’’. C’est bien |dommage, car, la encore, vous auriez vu que notre langue en Colombie-Britan- nique s’est forgé un outil de communication enthousiaste et dynamique. Et Prince Georges, Ter- race, Dawson Creek, Victo- ria 2 Ce sont des localités de notre province ! Vous y auriez trouvé des commu- nautés de personnes de lan- gue frangaise. En petit nom- bre, mais combien actives. Si vous aviez vu toutes ces personnes, tous ces groupes, vous vous seriez rendue compte, Madame, d’ une nouvelle volonté, d’un nouveau courant d’union dans toute la province. Vous au- riez noté ce regain d’acti- vités de la langue et la cul- vite de la langue et de la culture frang aise en Co- lombie-Britannique. Vous auriez pu parler dans votre article de laréorgani- sation administrative de la Fédération, car, sans elle, et sans beaucoup de tra- vail ensuite, ‘*L’Acte des langues officielles’’ (B & B) est ici lettre morte. Jean RIOU. ST-SACREMENT Venez emprunter a la Caisse pour consolider vos dettes Devenez mempre — et ouvrez un compte Pour toutes informations communiquez avec LA OAISSE POPULAIRE ST-SACREMENT Téléphone 874-9622 700 - 16iéme avenue ouest POPULAIRE Vanoouver 9, 0.-B. ——