QUAND LA BETISE DIRIGE LE MONDE Comme chacun le sait, on parle pour la miame fois de désarmement & Washington. Quand ce n’est pas le représentant russe qui se déplace, c’est l’américain. Tout ce joli monde, souvent s’entend pour finalement découvrir qu’il n’est pas d’accord sur le nombre de missiles que 1l’on doit laisser ou enlever. Doit-on se débarrasser des MX15 ou des Y17?. Ce n’est pas facile a déterminer vous diront-ils?. Pensons-y bien, en cas de conflit, sera-t-il plus sage de détruire Paris, Rome et Londres en premier, ou bien Berlin, New-York ou Montréal?. Devra-t-on utiliser tel modéle plutSt qu’un autre? Ces inconscients qui se consultent entre eux ne pensent pas & nous les futures victimes. D’ ailleurs qu’est-ce qu’on comprendrait 1a-dedans?. Ce que nous comprenons c’est que pendant que ces messieurs déliberent, qu’& chaque voyage qu’ils font entre Washington et Moscou (ca coute plus de $500,000. par voyage) des milliers de personnes du tiers-monde meurent parce qu’il n’y pas d’argent pour les’ secourir. Nous comprenons aussi que tout l’argent qui est dépense en pure perte servirait a dépolluer la planéte, a faire reverdir les déserts, @ secourir des millions de gens qui attendent de nous, autre | chose que des discours imbeciles sur la necessité d’etre puissant. Dans un autre ordre d’ideée, c’est avec consternation que nous avons appris que récemment &@ Londres, un VanGogh s’est vendu $112,000,000. Un tableau, un seul. Environ l’é@quivalent de 200,000,000 de rations alimentaires... pour un tableaut. J’ai feuillete mon dictionnaire pour trouver une definition a de telles absurditeés, et je n’en ai pas trouve.