Sur le cable KELOWNA 1 KAMLOOPS 1 TERRACE 1 PRINCE j j | } | i TELE SOLEIL DAWSON Sane Programme de la télévision VENDREDI 15 MARS 1985 Reilly, l'as de espions 18 mars, 20h30 Teélé-lundi Le maitre de |'espionnage, Sidney Reilly, est maintenant passé a la légende. L’as des es- pions sera la vedette d’une série de 12 épisodes présentée, dans le cadre de Télé-lundi, a compter du 18 mars a 20h30, a la télévision de Radio-Canada. Reilly, l’as des espions ra- conte l'histoire de Sigmund Rosen- blum. Né en 1874, élevé dans une famille de l’aristocratie russe, il ap- prend trés jeune le maniement des armes. Sa jeunesse sera troublée par la découverte de ses véritables origines: il est le fils d’un petit mé- decin juif. || part donc pour l’Amé- rique du Sud.ou il se distingue par plusieurs actions d’éclat. C’est a ce moment, alors qu’il n’a que 21 ans, que les Services secrets britanni- ques |'invitent a joindre ses rangs: il s'appellera désormais Sidney Reilly. Ses diverses missions le conduisent aux quatre coins du monde et font bientot de lui |’es- pion international le plus craint et le plus respecté de tous les es- pions de la planéte. Ses exploits le ménent tantot a Bakou, en Mand- chourie, 4a Hambourg, en France, tantot a New York, a Saint- Pétersbourg et 4 Moscou. Reilly sera de toutes les grandes intri- gues politiques. Ses activités ne l'empécheront pas d’amasser une grande fortune. Marié trois fois, deux fois bigame, Reilly passe son existence . sles salons, les salles de bal et les clubs. Cette ambitieuse production britannique tournée en France, a Malte et en Angleterre met en ve- dette dans le réle de Reilly l’acteur néo-zélandais Sam Neill. Sigmund Rosenblum Le premier épisode de ce grand drame d’espionnage se passe en 1901, apres une délicate mission en Perse. Le train qui se dirige vers Bakou, en Russie, et a bord duquel voyagent Reilly et ses compagnons de route, le Révérend. Thomas et sa jeune femme Marga- ret, est intercepté par la police frontaliére du Caucase. Les voya- geurs sont invités a descendre du train, conduits sous escorte poli- ciére a I'hdtel et gardés a vue. Reil- ly organise alors une évasion qui laissera la jeune femme du Révé- rend dans une situation qui scan- dalisera le peuple britannique. Outre Sam Neill dans le rdle de Reilly, la distribution comprend Se- bastian Shaw, Jeananne Crowley et Leo McKern. Sam Neill Inspiré de l’ouvrage de Robin Bruce Lockhart, la série Reilly, l’as des espions a été scénarisée par Troy Kennedy-Martin. Réalisation: Jim Goddard L'espace d'un coup de foudre Wendy Burge et Toller Cranston \ dimanche 17 mars, 21h30 Les Beaux Dimanches Quelque part dans une ga- laxie lointaine existe un monde in- connu ot le Bien et le Mal s’affron- tent depuis la nuit des temps. Mais tout va changer sur La Planéte ma- gique aux Beaux Dimanches, le 17 mars a 21h30. Imaginée par le grand pati- neur Toller Cranston, cette émis- sion ravira les amateurs de pati- nage artistique et d’effets spé- ciaux. Incarnant un astronaute dont le vaisseau s‘est écrasé sur une planéte étonnante, Cranston s‘éprendra d’une reine (Wendy Burge), mais devra dans sa quéte du bonheur combattre les forces du mal et le méchant Fraze (Brian Pockar), soupirant cruel de la belle extra-terrestre. Dans sa descente dans le monde des ténébres ou le prince du mal garde la reine prisonniére, Cranston affrontera monstres et périls de toutes sortes. Des effets _spéciaux surprenants tels que pati neurs traversant murs enflammés, duels de rayons laser ou bateau voguant sur une mer violette par- semeront cette production remar- quable. Les chanteuses Ann Jillian et Deniece Williams et l'Orchestre philharmonique de Londres conju- gueront leur talent pour mettre en musique ce conte de |’an 2000. Un triangle intergalactique, -une expérience visuelle inou- bliable, La Planéte magique aux Beaux Dimanches. Réalisation: Mace Neufeld francaise de Radio-Canada ‘dimanche 17 mars, 22h30 Les Beaux Dimanches «Choisir un programme de récital demeure pour moi un exer- cice difficile (. . .). Pour cette émis- sion, j'ai laissé mon cété sentimen- tal dominer.» Dans cette affirma- tion d‘Henri Brassard transparais- sent l‘intelligence et la sensibilité d’un interprete qui saura vous émouvoir aux Beaux Dimanches, le 17 mars a 22h30. Pianiste de réputation mon- diale, Henri Brassard fut l’éleve d’Yvonne Hubert, de Lucille Bras- sard et de Dieter Weber. Dés ses débuts, il conquit foules et criti- ques, remporta le Grand Prix du Festival de musique du Québec (1965) et fut finaliste au Concours national de Radio-Canada en 1967. Une médaille d’interprétation au Concours international de Vercelli et une place de demi-finaliste a ce- lui de Bolzano furent d’autres étapes fructueuses pour ce musi- cien ayant joué depuis avec les or- chestres symphoniques de Mont- réal, de Québec, de Toronto, de Dublin et avec l’Orchestre de chambre McGill. Henri Brassard dimanche 17 mars,9h30 © Livre ouvert La télévision de Radio- Canada offre a ses jeunes téléspec- tateurs une nouvelle série jeunesse réalisée sur vidéocassettes a partir des meilleurs livres pour enfants édités en francais au Canada. Livre ouvert a été concu pour stimuler le désir de trouver en bibliothéque des livres de qualité et d'une conception visuelle vivante. A compter du dimanche 17 mars a& 9h30, les tout petits rencon- treront de nouveaux personnages créés de toutes piéces par des au- teurs et des illustrateurs récipien- daires de prix prestigieux. Livre ouvert est une série de 26 vidéocassettes, production de Prisma avec la participation de Téléfilm Canada et de la Société Radio-Canada, qui seront diffusées au rythme de deux histoires par épisode. La premiére emission nous propose La Grange aux lutins de Robert Piette et de Josée Dom- browski, une légende des Iles-de- la-Madeleine avec deux espiégles lutins qui s’offrent tous les di- manches une chevauchée noc- turne sur la vieille jument Zéphyre. La narration est de Paul Hébert. CHILLIWACK 2 3 3 GEORGE 6 8 1 KITIMAT 3 CREEK Récital du pianiste Henri Brassard Henri Brassard est membre du Trio Haydn de Montréal, qu’on a pu entendre le 25 janvier dernier aux Grands Concerts du réseau _ FM de Radio-Canada, et il en- seigne |l’interprétation et la musi- que de chambre a I'Université du Québec a Montréal, aprés avoir été professeur a I’Université Laval et dans les conservatoires de musi- que du Québec. _ Celui que Gilles Potvin, criti- que musical au Devoir, qualifia de «pianiste exceptionnel, musicien racé et schubertien inconditionnel» a choisi pour ce récital des Beaux Dimanches deux oeuvres de Schu- bert: I‘impromptu opus 90 no 4 et les Valses opus 18. Nous pourrons également entendre la Sonate en ré majeur de Mozart et la Sonate no 3 en la mineur de Prokofiev. I! avait interprété cette derniére oeuvre en 1979 lors d'une tournée mémorable en URSS. Schubert, Mozart, Prokofiev. «Prétendre connaitre a fond ces trois compositeurs serait pure fo- lie. Affirrner leur vouer une grande passion n’est que simple vérité.» Cette grende passion, Henri Bras- sard nous la fera partager aux Beaux Dimanches. Réalisation: Pierre Morin Une nouvelle série jeunesse ll y aura aussi La Chicane, un conte de Ginette Anfousse qui lui a valu en 1979 le Prix du Conseil des arts du Canada. Narration: Diane Lavallée Réalisation: Claude Godbout et Réal Tremblay . Pere