8, Le Soleil de Colombie, 9 Avril 1976 (DECISION Ottawa, le 31 Mars 1976 Le conseil de la Radio-Télévision canadienne an- nonce la décision suivante: Décision CRTC 76 - 175 VANCOUVER (COLOMBIE-BRITANNIQUE) - 751004300 Canadian Wirevision Limited Demande présentée en vue de renouveler la licence de radiodiffusion de l’entreprise de télévision par cable desservant qui expire le 3] Mars 1976. Décision: APPROUVE Le Conseil renouvelle cette licence duler avril 1976 au 31 Mars 1979, 4lacondition que le titulaire se con- forme au Réglement_sur la télévision par cable qui entrera en vigueur le ler Avril 1976 et aux condi- tions qui seront spécifiées dans la licence. Cette période permettra au Conseil d’étudier le renouvel- lement de cette licence en méme temps que ceux d’autres licences de télévision par cfble de la_ ré- gion. Cette licence est sujette 4 la condition que le titu- laire posséde, au minimum, la téte de ligne locale, les amplificateurs et les prises menant aux mai- sons et aux immeubles d’habitation. Conformément _ 4 l’article 10 du Réglement, le Con- seil- autorise le titulaire A continuer la distribu- tion actuelle des signaux de télévision 4 son sys- téme de télévision par cable pour une période in- terimaire au-dela du ler avril 1976, en attendant la publication par le Conscil d’un avis. concernant la politique d’attribution des canaux dans les régions du Lower Mainland et de !’fle de Vancouver en’ Co- lombie- Britannique. Le Conseil a recu des interventions & cette deman- de au sujet du canal communautaire qui ne répond pas aux attentes des abonnés. Le Conseil est d ’accord avec les intervenants quelle canal communautaire n’offre pas une programmation adéquate dans le ter- ritoire ‘unique et varié accordé au titulaire. Ce ca- nal. n’offre pas nonplus une programmation appro- priee aux besoins des communautés avoisinantes desservies par d’autres titulaires. Le Conseil a remarqué que l’engagement financier du titulaire pour ce canal communautaire ne refléte pas l’importance et la maturité de cette entreprise de télévision par cable. Letitulaire ne s’est pas non plus engagé 4 offrir des installations convenables qui desserviraient adéquatement les huit différentes communautés. Le Conseil s’attendra donc Ace que le titulaire’ prenne les mesures mécessaires afin d’affecter des ressources humaines et financiéres appropriées pour répondre aux besoins distincts de la région desservie. Le Conseil considérera lors du renouvellement de licence si le titulaire a im- planté un systéme plus flexible et décentralisé afin de favoriser au maximum les possibilités de parti- cipation. : Le titulaire devrait se conformer Atout point de vue a la politique sur la télévision par cable et infor- mer le Conseil de toute modification apportée A son entreprise. Conformément 4 cette politique, la réception et la distribution des signaux MF non- canadiens et de CFMS-FM Victoria (Colombie-Bri- tannique) sont REFUSEES. De plus, le Conseil RE- FUSE la distribution de CBUF-FM, CKLG-FM et CHQM-FM Vancouver aux: canaux de télévision. at Set Guy Lefebvre Secrétaire Général Rae ae : Conseil de la Canadian _ Radio-Télévision _ Radio-Television Canadienne Commission “son rapport Vancouver (Colombie-Britannique) ° ACTIVITE \ \ Chronique du Canada Francais Le deuxiéme Conseil con- sultatif des districts bi- lingues a remis au Gou- vernement et rendu public 4 la fin de 1975. C’est un volume grand format de 272 pages. Ilest divisé en 5 parties: -l’en- quéte, les recommanda- tions quant aux districts bilingues; des recomman- dations supplémentaires; des rapports minoritaires; enfin, un certainnombre de documents. utiles dont la loi sur les langues offi- cielles qui renferme la lé- gislation concernant les districts bilingues. La partie 2 renferme évi- demment les pages essen- tielles. Les media d’infor- mation se sont jetés, dés parution, sur cette partie avec lafrénésie qu’on leur connaft. Ils ont donné du rapport uhe_ information matériellement exacte, mais dont l’éclairage trés insuffisant fausse plus ou moins. le contenu. Dans cette chronique, nous nous proposons d’étudier les 4 autres parties, sans les- quellesla partie 2 risque de n’apparaftre que com- me un découpage géogra- phique sans _ signification et sans justification. ~~ Tout d’abord, il n’est pas inutile de relire, cn appen-. dice, la loi sur les _ lan- gues officielles, promul- guée il ys a deja 6 ans. Cette loi renferme 7 arti- cles sur les districts bi- lingues fédéraux, soit de 12 4 18. Avec la déclaration d’un statut. des langues et la création d’un commis- Communiqué | CONCERT ANNULE - La soirée qui devait avoir lieu au- Theatre Q.F. le 25 avril prochain, avec la can- tatrice Donna Roll, célébre soprano, a été annulée. Priére aux personnes ay- ant déja acheté leurs billets de téléphoner au Vancou- ver Ticket Centre, 630 rue Hamilton, au 683-3255, pour remboursement - 1333 Burrard oh. He Se F J U 688-7043 Jazz avec MIKE TAYLOR et Cie 11.00 pm A 6.00 am **Soul food”’ maison * Ouverture le 5 Avril _ commandations UNE QUESTION .COMPLEXE sariat aux langues, ils constituent. les prescrip- tions maftresses de la loi. C’est dire l’importance que le gouvernement attachait alors 4a la création de districts bilingues, 4 la suite de la Commission Laurendeau-Dunton. Com- ment expliquer que cette section de la loi en est encore au stage des re- alors que la mise 4 exécution des deux autres sections a commencé dés les pre- miéres* semaines qui ont suivi la promulgation de la loi. C’est que, tout d’abord, l’accord ne s’est pas fait et n’existe pas encore sur la notion de district bi- lingue et surtout sur leur utilité. C’est que, aussi, on s’est buté dés le dé- part, a un obstacle ma- jeur. Le premier Conseil Consultatif des districts bilingues, chargé de déli- miterces- districts == ef aussi d’élucider le texte de la loi, a été créé le 12 fé- vrier 1970. Ses membres se mirent aussitdt a l’oeu- vre avec la conviction que leur tache_ serait relati- vement facile. Ils'déchan- térent rapidement et sc rendirent compte qu’il y a souvent loin de la coupe aux lévres. Ils durent sur- tout utiliser les données d’un recensement qui da- tait de 10 ans, celuide196l. Leur rapport fut tout de méme déposé aux Commu- nes en mail971l mais les recenseurs étaient déja a oeuvre et le gouverne- ment forma, le25mail972, un 2éme Conseil consulta- tif des Districts bilingues. I’oeuvre du ler Conseil n’avait pas été inutile. Ses membres avaicnt précisé le texte de la loi. Par leurs enquétes Atravers le pays, ils avaient sensibilisé l’o- pinion publique et ils avai- ent pu connaftre ses réac- tions. Enfin, ils avaient é- laboré un schéma des dis- tricts bilingues, quiest de- meuré substantiellement valable aprés le recense- ment de 197] et quia cons- titue un précieux instru- ment de travail pour le Conseil No.II. Ironie~ du sort; un seul district bilin- gue avait’ vu le jour, celui de la région de la Capitale nationale, mais c’était en vertu d'un autre article de la loi que ceux qui créaient les districts» bilingues. - 8-9-10 AVRIL SAMEDI: 9.00 18.00 LUCIEN BELLIN VOUS RECOMMANDE: PHOTO .|PLUS DE 600 PHOTOS COULEUR SERONT EX POSEES ELLES SONT L’OEUVRE DES PHOTOGRA PHES AMATEURS ET PROFESSIONNELS LES PLUS RAFINES DE LA COLOMBIE-BRITANNIQUE. JEUDI& VENDREDI: 12.00 4 21.00 HYATT REGENCY, VANCOUVER DE NOMBREUX PRIX A GAGNER PH de 4 5 wie SS) ahSe ah OTO L Epreuves de haute qualité 4 40 X 90 pouces reproduites manuellement ; clichés en couleurs ~ Diapositives , Epreuves , Travaux artistiques Service rapide d’une semaine, A codt raisonnable. Procurable chez la plupart des vendeurs de caméra. Demandes de professionnels bienvenues. 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