Information Mauvais départ Jai rencontré 4 |’ Alliance francaise de Vancouver Mme Rose-Blanche MacBride et Mme Monique Debra-Dufrane, cham- pionnes de bridge redoutables et redoutées. Elles m’ont confié qu’elles se préparaient pour leur prochain tournoi, mais elles ont refusé de me dire duquel il s’agis- Sait. S’agirait-il du tournoi le plus célébre d’Asie? Il a lieu chaque année, en avril, en Birma- nie : c’est le tournoi de bridge de la riviére Kwai. Chronique Le "bridge" de la riviere Kwai cliste de la police municipale de Vancouver, pour avoir bralé un feu rouge. «Ce n’est pas de ma faute, je suis daltonien.» «Ca ne prend pas avec moi, mon gaillard!», aurait répondu le policier, «Montrez-moi vos papiers. Ah! Mais... Vous étes noble!» «Oui», a répondu fiérement M. Bouchard de Montmorency; fierté pleinement justifiée, puis- que la famille de Montmorency est l’une des grandes familles frangaises. «J’avais |’intention de vous «Y’avait un macchabée (a répé- ter trois fois) «macchabée, macchabée, maccha- bée, tsoin, tsoin! «Ce macchabée disait (4 répéter trois fois) «il disait, il disait, il disait, tsoin, tsoin! «Ah! C’qu’on s’emm.... ici (a répéter trois fois) «m.... Cl, M.... ici, M.... ici, tsoin, tsoin!» ** KK Jean-Claude Boyer a l’honneur La réunion du Club Toast- masters de Vancouver du Et, voila; ¢a y est! Une fois de plus, cette chronique est bien mal partie... * ee * * Merci a Radio-Canada! Le mois dernier, Véquipe de 1’émission d’actualités Ce soir a choisi votre humble serviteur (au fait, qui a inventé cette ex- pression consacrée?) pour son Profil: Claudine Vialon a fait l’entrevue, et le montage a été superbe. Nous avons pu voir Renaud Hartzer, jour- naliste coopérant au Soleil de Colombie et Jacques Jean-Claude Area mercredi 19 février a été marquée par la remise d’un prix a notre collaborateur Jean-Claude Boyer. II s’agissait du District 21, Toastmasters CTM Award. CTM signifie Competent Toastmaster, et un membre de Toastmasters Internatio- nal regoit le titre de CTM aprés avoir prononcé ses dix premiers discours. Bravo donc a Jean-Claude Boyer, qui est l’un des pi- liers du club. ** EK * Nuit cauchemardeuse Baillaut, directeur du jour- nal, ainsi que le vieil équipement du journal (des machines Com- pugraphic de photocomposition) et le nouvel équipement (avec le logiciel Pagemaker). Pierre Claveau a fait une présentation trés sympathique. Mercia Claudine Vialon, a Pierre Claveau et a toute l’équipe. Soit dit en passant, Clau- dine Vialon est originaire de Chamonix, au pied du Mont-Blanc. C’est dans cette célébre station de sports d’hiver et d’alpinisme qu’ont eu lieu en 1924 les premiers Jeux olympiques d’hiver. **** * Un nom a perdre la téte Selon des rumeurs non confirmées, le Directeur général de la Société d’histoire des Fran- co-Colombiens, M. Patrick Bouchard de’ Montmorency, aurait été arrété par un motocy- donner une contravention, mais, dans ces conditions, je dois vous envoyer 4 la guillotine!» 5 **¥* * * Un choix musical - d’un goat fort douteux Je regardais 4 la télévision la retransmission de l’une des parties de hockey de la ronde des médailles, aux XVle Jeux olym- piques d’hiver a Albertville. L’organiste de service a interprété une chanson bien con- nue en France, mais quine conve- nait pas du tout aux circonstan- ces, puisque les _ spectateurs n’avaient vraiment pas l’air de s’ennuyer. Voici la chanson en ques- tion : «Dans un amphithéatre (a répéter trois fois) «phithéatre, phithéatre, phithéa- tre, tsoin, tsoin! Jean-Claude Boyer (oui, encore lui!) a fait, il y a quelques jours, un cauchemar non seule- ment épouvantable, mais égale- ment douloureux. Laissons Jean- Claude raconter la tragédie a la- quelle il a survécu de justesse. «Sur le pont d’un immense navire, une énorme poutre de fer est soudainement sur le point de me réduire en bouillie, plus mince que l’ombre d’un papier de soie. _ «Je parviens am’échapper de justesse de dessous le monstre pour me retrouver allongé sur le plancher de ma chambre, assom- mé contre la plaque de fer du dossier de chaise de mon bureau. Et me voila en train de me frotter vigoureusement le crane dans le grand silence de la nuit.» Allez, on recommence! Dans ma chronique du 17 janvier, j’aimalraconté une anec- dote, en attribuant certains pro- pos 4 la mauvaise personne. Etant donné que nos lecteurs et lectri- ces méritent de connaitre la véri- té, toute la vérité et rien que la vérité, voici la version corrigée. Le bon sens enfantin Un petit Francais était in- trigué par le mot «héros». A la radio, il entendait parler de guerre, de soldats et de héros. «Qu’est-ce que c’est, un héros, maman? Est- ce que c’est toujours un soldat?» Lamére de répondre: «Un héros, par exemple, c’est un sol- dat qui est prét 4 donner sa vie pour sa patrie, ou n’importe qui qui est prét a risquer sa vie pour une bonne cause.» Aprés un moment de ré- flexion, le gamin ajoute : «C’est bien d’étre un héros, mais c’est bien aussi d’étre vivant.» Un explorateur invite un anthropophage a prendre un petit verre. «Deux doigts de porto?», lui demande-t-il. «Deux doigts suffiront», répond le cannibale. _ Je garde secréte 1’identité de la personne qui m’a raconté cette blague, afin de protéger cette personne contre des représailles qui seraient, je le reconnais bien volontiers, parfaitement justifiées. * eK OK & La palme de I’humour Nous la décernons au comédien américain George Burns. Il est agé de... c’est vrai, au fait, quel age a-t-il? 93 ans ou 95 ans? Un journaliste lui a de- mandé quel étaitsonsecret.«Mon - secret? Jene crois pas ala mort.», a-t-il répondu. L’Association de la presse francophone, basée a Ottawa, regroupe 29 publications desservant les communautés acadiennes et francophones du Canada. Son conseil d’administration recherche une personne dyna- mique pour assumer, au sein de I’Association et de son agence de représentation publicitaire OPSCOM, les fonctions de Président directeur général (h. ou f.) e@ Responsabilité: Investie de l’autorité politique et administrative du conseil d’administration, cette personne devra réaliser le plan stratégi- que visant a assurer l’autosuffisance financiére de |'Association et d'OPSCOM dans les cing prochaines années. © Qualités et expérience requises: La personne idéale a une bonne connaissance du monde des journaux et des communautés francopho- nes et acadiennes, posséde des aptitudes manifestes pour la motiva- tion et la vente, est a l’aise dans les couloirs gouvernementaux et dans les hautes sphéres du secteur privé, est parfaitement bilingue dans les deux langues officielles du Canada, est capable de développer et d’en- cadrer une équipe de vente, de gestion et de service aux membres. Connaissances en télématique un atout. e@ Rémunération: Le poste comporte une rémunération trés attray- ante, combinant un salaire de base et une commission fondée sur la productivité de l’entreprise. @ Date du concours: Les candidatures seront acceptées du 25 février au 13 mars 1992. Les entrevues auront lieu durant la semaine du 22 mars et l’entrée en fonction est prévue pour le 1er mai au plus tard. @ Comment postuler: Tout individu possédant les qualités et l'expérience requises et qui désire un défi professionnel a la hauteur de ses capacités fera parvenir un curriculum vitae ainsi qu'une lettre de référence a: Roger Duplantie Président du conseil d’administration Association de la presse francophone 900-325, rue Dalhousie : Ottawa, Ontario KIN 7G2 Les personnes intéressées peuvent demander plus amples renseignements en téléphonant au président du conseil d’administration au 613/ 237-1017. __ ABE _ OPSCS 3M bed ' Ministére des Finances Department of ance Vendredi 6 mars 1992 Le Soleil de Colombie INFO-BUDGET 1-800-267-6640 Pour toute question sur le budget fédéral, ou pour obtenir des imprimés, appelez sans frais. Personnes sourdes ou malentendantes : 1-800-267-6650 (ATS/ATME)