Volume 1 fi 0... 77: septembre 1965 aditoriaux Notre XXI dame OBGESe. pence) Le XXI éme Congr颔 atetote) de la Fé- @ération Canadienne francaise de la Co-.- lombie Britannique se tiendra dans quel- ques jours; adit, les. Il marquera le début de la 21 éme an- née depuis'la fondation d'une association aux dimensions’ provinciales des groupes de langue francaise en Colombie. Tl sera, en méme temps, ‘celui od il faudra Gécider de structures aptes A as- surer, d'ici un nae as ‘permanence d'un secrétariat. Revisions ees “Nous avons été favorisés et on nous a fait confiance quand la Fraternité Fran- gaise d'Améerique a décidé de financer ‘1'établissement d'un secrétariat perma- nent pour notre Fédération, il y a prés cde deux ans. Cette aide nous a été consentie par- ce que notré' raiscn d'3tre,' comme as&o- ciation, avait &épassé.1les cadres tradi- ae shea Devant la tache ‘de nous affirmer..com~ me groupe national, il nous’ faut compen- ser pour notre faiblesse numérique par. la concentration ‘de toutes ‘nos forges vi- Vesa Pee! . Nous ne pouvons plus, en tant que Ca- considérer la Fecération nadiens francais, comme un genre de club fermé, un sénat ou une agence de bienfaisance. eee ne “pouvons p ie nous satisfaire des institutions paroissiales comme garan- ‘ties de survivance et d'emancipation. Le’ seul: moyen, pour nous, de nous as- “aquelle nous avons droit, eonsistera A réeunir tout notre actif sous “surer la place a 2 la baniére d'un mouvement. général. Une vraic fédération! Nous avons déja. sensibilisé nos grou- pes et nos: institutions, lors du dernier _congrés, sur. la nécessité de voir la Fedé- ration comme l'ensemble de nos. effectifs. Cétte année, il va falloir traduire?” '-le sens pratique d'une telle association. Non seulement avons-nous besoin de chacune de nos instituticns qui continue- ront de se spécialiser dans les domaines qui leur sont propres; il faut que ces derniéres soient prétes A assumer un ré- le officiel dans la Fédération. ‘9,::10 et 11 octobre. i oy (333 Walker, Maillardville, C.B. “Aucun de nos groupes, indi viduel- _ lement,— n'est en mesure .a'entrepren- dre une, action efficace,. de .se doter d'un secrétariat, a! établir , des servi- ces généraux pour la communauté . Par contre, si nous nous.cotisons tous, nous pouvons maintenir un secré- tariat général. C'est le premier pas. Clest'.]'union: qui fait la force. Bien gue le crédit ne nous revienne pas pour les services d'un agent de liaison, - ce sont nos fréres du Qué- bec qui en ont assume la charge pour trois ans, --on ne peut douter, aujour- dthui, de l'utilité de ce poste.. Ne serait-ce que dans le but de pouvoir publier, tous les mois, ( et peut-étre, plus tard, toutes: les se- maines ) un journal qui refléte notre milieu, il en vaudrait deja la peine. Mais ceci n'est qutan: exemple. €e que nous devons réaliser c'est une société capable de produire, par elle- méme, les éléments nécessaires A son intégration a la société daa large qui nous entoure. Ltessentiel c'est que cette in- tégration ne soit pas faite au prix de notre identité. La condition c'est la coordination de nos forces. eee APPE CRGANE DES CANADIENS FRANCAIS _ de la Vallée du Fraser. Publié mensuellement par _La Fédération C.F. de la C.B. en collaboration avec les Cercles C.F. de Vancouver, de New- Westminster et de Maillardville.— Directeur général: Joseph Doré Rédacteur en chef: Roméo Paquette Editeur: Fernand Bouvier: Rédacteur pour Vancouver: André Piolat el-est publié a NO oe ESE yr epee ee Rae (Aree ee ac, Sn be a aemee as Abonnement:$2.00 par année Pour tout renseignement au sujet de nos tarifs d'annonce, de la publica- tion de communiqués, nouvelles, etc., écrire ou communiquer par téléphone & 939 1816.