yoo Le Billet feminin par Yvonne Abgrail LA CIGARETTS .... UN FLHAU. Parmi les compagnies qui vendent leurs produits & grand renfor: de puolicité, les fabri— cants de cigarettes se distin— Suent par leurs efforts persis— tants et leurs offres alléchan— tes, pour convaincre le public en général, la jeunesse en par— ticulier. Les as du baseball, du football, du gouret sont les héros des jeunes. Les @¢— missions sportives 4 la radio ou a la télévision sont ordinai— rement commaiidi:é3s par iss cump2zgaies de cigarettes qui paient un ceriain nombre d’ath— l@tes pouc vancter leur marque.. Les jeunes se laissent impres— Sionner par ces annonces et advptent la marque recomman— dée pour imiter leurs idoles, Ceriaines compz2g.iies placent des cartes dans leurs paquets de ci— garettes; lorsqu’on parvient & Se faire un jeu on a la chance de gagner plusieurs mille dol— lars. Les jeunes naifs. se dé— pechent de finir un paquetesee. le prochain achat leur ap— portera strement la carte ga— gnante.! En attendant ils fu— ment comme des cheminées, et se contaminent les poumons, C*est vers 1l%ge de douze ans et treize ans que les garcons et de nos jours, meme les filles, commencent généralement & iu— mer. En cacheite bien sur: non par amour du tabac mais pour singer les adultes, Au début avaler la fumée leur donne la fMausée mais il ne veulent pas passer pour poltron, Il par— viennent & chiper & leur pere ou grand — frére trois ou qua— tre cigarettes par jour et cela leur suffit. Mais pas pour long— temps. Ils réalisent qu’il leur faut travailler pour se payer leur piaisir; les garcons déli— yvrent les journeaux, les filles s’engagent comme _ gardiennes d’enfants. Et les voila escla— ves du tabac. Quelques années passent sans apoorter aucun pro— bléme, I entendent les médecins proclamer que la cigarette est la principat> cause d’une des maladies les pius redoutables, le cancer du poumoa, Mais ga ne peut leur arriver, & eux, Puis un jour on réalise qu’on commence Aa avoir le souffle court, que le tabac donne un sale gott dans la bouche, qu’on perd l’appétit. On se promet de modérer; pas capable on es— saie d*’arréter, impossible. On attrape rhume aprés rhume; d’affreuses quintes de toux nous épuisent, Nous voila pris de panique... et peut—@tre du can— cer? Quoi faire?. Des millions de parents con— seillent & leurs enfants de ne pas fumer, mais ils leur donnent ce conseil la cigarette au bec! Quoi faire? Les écouteurs risquent d’endommager l’ouie LONDR ES: Seion le British Me— dical Journal ,qui fait autorité en Grande—Bretagne, les adoles— cents qui utilisent des écouteurs risquent d’endommager teur ouie, Un récent article du Medical Toaurnal “Lh. 233. ver que beau— coup de jeunes gens emploient les écouiaie i 1) solr, a la mai— son, pour ne pas déranger leurs parents qui n’affectionnent pas toujours le genre de musique dont razfoleat les enfants. Mais ils ont l*impiession que L’AIL ésit bon SANTE DEMANDEZ A VOTRE DOCTEUR OU PHARMACIEN. L’ail est un antiseptique qui purifie les canaux sanguins et @limine les microbes qui causent la putréfaction, pour rv otre< tiennent lhuile d’ail vtilisée en médecine depuis de nombreuses années, Au cours des siécles,des mil— lions de personnes ont trouve dans i’ail un reméde aux pro— priétés cicatrisantes et forti— fiantes. Conservez vous aussi force et santé! Achetez dés aujourd*hui une boite de perles d’ail ADAMS chez votre pharmacien, Vous pouvez vous sentir mieux portant,plus robuste,et faire face grace & ces capsules sans gout (annonce) SALON LUCIEN Les perles d’ail ADAMS con—} a des rhumes.moins fréquents, ceiz2 musique ne peut s*écouter qu’a plein volume, Une jeune fille A qui 1?0n demandait si elle ressentait une douleur 4 l’oreille en @eoutant» ainsi la musique a répondu ;: ‘Qui, naturellemeut”’, Le British Medical Journat si— ghale $galement que les person— nes qui fréquentent les disco— theques et les salles de jazz et passent plusieurs heures & écouter une musique tonitruaa— te abiment asc outa dont la seasibilité diminue rapidement. On quéte NORTH—ADAMS MASS — Quand le directeur de , ‘Sprague Elec— tric CO’ de cette ville eut une diminution de son salaire, ses employes en gréve firent une quéte entre eux, Ils récolterent $40.00 pour Robert Sprague dont le salaire descendit de $80.000 4 $70.000 Un employe déclara qu’ils avaient eut pitié de lui.! WASHINGTON FUTURES 9, Le Soleil de Vaicouver, 29 mai 1970 GENERAUX? Elizabeth P, HOISINGTON Si la inode et les Grands Cou— turiers n’ont imposé aucune loi, les @léganies porteront du court ou du long,joueront les vamps ou les sportives,la Beauté 1e se permet qu’une seulerégle: REN— DRE TOUJOURS PLUS BELLE d’ou l’importance de ses com— mandemenis, C*est donc et finalement par son magilitlage, qu’une femme sera a4 la page, BEAUTE CANAD!ENNE Le creéateur de BEAUTYSEAL, le Dr.Oneskiv, s’inspiraat dure— nouveau pfrintanler, fait éclore comme des 7Laurs uoavelles,telle une source de beauté, dans 1’u— nique et pr@cieuse collection des rouges 4 lévres ZODIAQUE comme de:3 fleurs nouvelles, tou— te une gamme je inag: “lage jeu— nes et faris, Tl invite aussi chacune 4 pulser, telle une source de beauié, dans i’anigue ei précleuse collection des rouges & lévre ZODIAQUE, Comme le nom V’indique, chaque belle y trouve, selon son signe astral, des teintes idé@alisant sa peauré et peut choisir parmi d’autres nuances créées en nar— monie avec les douze signes du ZODIA BEAUTE NATURELLE NATURE! Voila le magqi!*as9-- zlef,., 12 premier atout de la BEAUTE CANADIENNE ,,, sur— tout pour le printemps—été alors que le soleil, la lumiére, lair doux et chaud ne supporteat pas Tas artifices trop appuyés, Avac BEAUTY SEAL C'EST TISOUR NATURE L } Croquants au miel Y2 tasse de beurre — 1/2 tasse de gras — une tasse de miel liquide — 2 tasses de gruau d’avoine — 1¥2 tasses de raisins secs — 2 tasses de farine tout-usage, tamisée — une c. a thé de poudre a pate — 2c, a thé de sel — une c. a thé de soda — une c. a thé de cannelle — 2 c. a table de lait. Défaire beurre et gras, y ajouter graduellement miel, gruau et raisins puis les ingrédients secs tamisés en alternant avec le lait. Déposér par cuillerées sur une plaque a biscuits beurrée 4 environ 2 pouces de distance. Cuire a 375°F, 104 12 minutes. 5 douzaines, environ. BELLIN Mini, Midi,ou Maxi? SOYEZ BELLE VANCOUVER: — La bataille est rangée dornénavant entre le pu— | blic féminin et les couturiers, Les femmes ont pour elles les COIFFEUR_FRANGAIS Voici hommes ( bien entendu!); les Mini; 1138; couturlers poss®dent toutefois Midi; 62; deux appuis financiers, les grands Maxi; oO, couturiers Parisiens et les fa— bricants de tissus, Le poste de langue anlaise de CBC Tai sv:stdu.CBUT—Vancou— ver, vient en effet de diffuser le résultat d’un sondage mené au— trices, pres de 1,200femmesdes grandes qui une autre, 1212. rue Denman(coin ave:Beach ) VANCOUVER Tel: 683 -4622 aim2z pondants ont posé la question.; de Messieurs ** Aimez—vous mieux les jupes de longeur mini, midi, ou maxi??? les réponses, d’aprs 1’émission de Dimanche passé La rédaction, en majorité mas— culine, du SOLEIL se garde bien de pencher pour une longeur ou Mais faites—no'1s sa— voir vos avis, Mesdames nos lec— Y—a—t—il les jupes villes Canadiennes, Sescorres— Ou allez—yous faire fi des édits les Couturiers? Anna May HAY — Pour la premiére fois, dans l*histoire de l’armée américaine, si le Sénai ralifie les nominations du président Nixon, deux femmes seront promues aux grade de générals. Tl s’agit des colonels Elizabeth P’ Hoisington, du Corps militaire féminin et Anna May hay,chef du Service des infirmiéres, LE VISAGE; Plus que trausparent et naturel, sans @tre luisant, Fonds de